Voeux à la Légion
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Voeux à la Légion
Voeux à la Légion
En ce début d’année nouvelle, une réflexion me venait à l’esprit et plus particulièrement une forme de pensée qui voulait nous faire croire que la politique aurait pour but non pas de dominer pour dominer, de maîtriser pour le plaisir de maîtriser, mais bien de mettre en place un système social de civilisation : la liberté et le bonheur.
La liberté devrait s’appuyer sur la science pour nous permettre d’émanciper l’humanitaire quant au bonheur, il ne saurait exister sans le contrôle du monde afin de nous libérer de nos peurs latentes.
Aujourd’hui, au début de l’an 2010, cette vision n’est plus de mise mondialisation aidant. En fait, il ne s’agit plus d’innover et encore moins de rêver un monde juste et idéal, pour être vraiment libre et heureux, il faut, tout simplement, survivre. Le mot clé est lâché, survivre parce qu’il n’est plus possible de penser et faire autrement. La nécessité est de se comparaitre sans cesse aux autres, d’accroître la production et de révéler ainsi que le besoin de puissance des hommes sur la nature est devenu automatique et incontournable, nous sommes dépassés.
Nos anciens légionnaires du domaine, lors de nos discussions réunions ont parfaitement compris tout cela. Ce pessimisme d’un genre nouveau véhiculé à la vitesse de la lumière par les moyens de communications modernes, n’est que la représentation concrète d’un manque de savoir faire pour reprendre ou repenser un monde où l’humain pèserait un peu plus qu'une plume dans le rapport de force qui oppose les nations entre elles.
Pour l’heure, une seule peur domine l’inquiétude de nos pensionnaires, celle que la Légion ne subisse dans un proche avenir les humeurs des politiciens qui penseraient bien faire en lui faisant subir un changement radical, comparant ce qui n’est pas comparable à l’image de ce qui se fait malheureusement partout.
Les temps sont bien difficiles et en cette nouvelle année, tous nos vœux sincères et nos pensées les plus chaleureuses se tournent vers le général Bouquin qui a la lourde charge de tenir entre ses mains l’avenir de notre chère Légion.
source : La Maison du légionnaire à Auriol
More Majorum !
En ce début d’année nouvelle, une réflexion me venait à l’esprit et plus particulièrement une forme de pensée qui voulait nous faire croire que la politique aurait pour but non pas de dominer pour dominer, de maîtriser pour le plaisir de maîtriser, mais bien de mettre en place un système social de civilisation : la liberté et le bonheur.
La liberté devrait s’appuyer sur la science pour nous permettre d’émanciper l’humanitaire quant au bonheur, il ne saurait exister sans le contrôle du monde afin de nous libérer de nos peurs latentes.
Aujourd’hui, au début de l’an 2010, cette vision n’est plus de mise mondialisation aidant. En fait, il ne s’agit plus d’innover et encore moins de rêver un monde juste et idéal, pour être vraiment libre et heureux, il faut, tout simplement, survivre. Le mot clé est lâché, survivre parce qu’il n’est plus possible de penser et faire autrement. La nécessité est de se comparaitre sans cesse aux autres, d’accroître la production et de révéler ainsi que le besoin de puissance des hommes sur la nature est devenu automatique et incontournable, nous sommes dépassés.
Nos anciens légionnaires du domaine, lors de nos discussions réunions ont parfaitement compris tout cela. Ce pessimisme d’un genre nouveau véhiculé à la vitesse de la lumière par les moyens de communications modernes, n’est que la représentation concrète d’un manque de savoir faire pour reprendre ou repenser un monde où l’humain pèserait un peu plus qu'une plume dans le rapport de force qui oppose les nations entre elles.
Pour l’heure, une seule peur domine l’inquiétude de nos pensionnaires, celle que la Légion ne subisse dans un proche avenir les humeurs des politiciens qui penseraient bien faire en lui faisant subir un changement radical, comparant ce qui n’est pas comparable à l’image de ce qui se fait malheureusement partout.
Les temps sont bien difficiles et en cette nouvelle année, tous nos vœux sincères et nos pensées les plus chaleureuses se tournent vers le général Bouquin qui a la lourde charge de tenir entre ses mains l’avenir de notre chère Légion.
source : La Maison du légionnaire à Auriol
More Majorum !
Re: Voeux à la Légion
je comprends l'inquétude des anciens Daniel
et les sites comme le tien (le notre) et les autres sur la légions
ou il y a des anciens légios et des sympathisants sont justement la pour veiller au grains
soyons vigilant et pas touche messieurs les politiques
et les sites comme le tien (le notre) et les autres sur la légions
ou il y a des anciens légios et des sympathisants sont justement la pour veiller au grains
soyons vigilant et pas touche messieurs les politiques
olivier- Admin
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