1er contact.
Historia Légio More Majorum :: la Légion Etrangère :: Campagnes de la Légion :: La guerre de 1914/1918
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1er contact.
Bonjour
voici les premières impréssions du jeune lieutenant Rollet concernant son 1er contacts avec les Légionnaires.
Amitiés Legio.
Des premiers contacts dira le futur général Rollet avec les légionnaires et dont il observe et écoute, il écrira. « Ce qui l'impressionne c'est de voir ces hommes dans une tenue correcte et comme il dira de même d'un comportement le jour « bon », il s saluent correctement ce qui pour lui est important comme marque de respect envers leurs supérieurs.
Cette bonne opinion lui est conférée quelque jours plus tard à propos d'une prise d'armes s'est la bonne tenue des légionnaires, il fait la remarque aussi de leur aire crâne est décidé leur correction, malgré le manque d'habitude de l'ordre serré, ce qui le surprend agréablement.
Ce qu'il étonne aussi malgré l'amalgame des diverses nationalités se malgré sait tout le synchronisme militaire réalisé sans difficulté : Allemand, Espagnol, Russe, Belge, Danois, Italien et Suisse sont tous capables de tout les dévouements. Les Américains alors que peu ce sont engagés à cette époque ne comprennent que l'anglais font de même.
Quant aux Français il n'est guère impressionné et dira même médiocrement impressionner, car ils ont la réputation de ne venir à la légion que lorsqu'ils n'ont eu engagé dans d'autres corps ; ils souhaitent servir sans prendre de risques, le but étant de faire homologuer leurs services antérieurs et d'obtenir, afin de leur contrat, une pension de retraite avec 15 ans de service. Beaucoup d'hommes ayant déjà servi, l'instruction progresse très rapidement et ne demande que trois mois.
Il est vrai que parmi les engagés, on trouve non seulement d'anciens militaires mais aussi d'anciens sous-officiers et même quelques officiers ayant dû démissionner pour manquement à l'éthique militaire.
Il découvre malheureusement un grave problème sérieux « l'alcoolisme » qui règne, et constate que, même s'ils ne sont pas ivrognes lorsqu'ils arrivent à la légion, les nouveaux engagés le deviennent presque tous, quel que soit la classe sociale à laquelle ils appartiennent avant de s'engager. Il le constate aussi dans les notes des rapports et à ce sujet sont étonnants voire même édifiants celle-ci venant de son supérieur le colonel Bertrand.
On retrouve ces propos dans une lettre adressée à sa mère, il en cite des extraits qui sont les plus significatifs ; dont voici un court extrait, le colonel invite les hommes ivres à ne pas stationner à « l'horloge » ; le colonel demande aux légionnaires de ne pas l'arrêter dans la rue lorsqu'ils sont ivres. Ils comptent sur l'intelligence et le bon sens de tous et espère qu'on ne lui signalera aucun fait regrettable il recommande, en outre, aux hommes n'ont pris de boisson, de ramener les ivrognes aux quartiers.
C’est notes ont une influence certaine sur les légionnaires : le 1er janvier 1900, le lieutenant-colonel constate que si « dans les rues de Sidi-bel-Abb ès, il y a quelques hommes pris de boisson, ceux-ci sont relativement calmes, et ne cherchent pas querelle au passant et se contentèrent de brailler des chansons dans toutes espèces de dialectes. »
À l'occasion de la fête des rois de 1900, il fait plus ample connaissance avec les trois sous-officiers de sa compagnie, dont son capitaine la prier de s'occuper.
L'un d'entre eux, est un vieux sergent aillant déjà à son actif 14 ans de service, il sucite son intérêt, Suisse, originaire du canton du Tessin, il s'est engagé en 1885, est parti en 1886 au Tonkin ou il a séjourné plus de sept ans. Rentré en Algérie en 1894, il est reparti six mois après jour le Soudan où il est resté deux ans en garnison, à Ségou. Médaillés militaires, décorée des médailles du Tonkin et d'Ammân et de la médaille coloniale avec agrafes « Soudan », il attend maintenant d'avoir accompli 15 ans de service pour prendre sa retraite.
voici les premières impréssions du jeune lieutenant Rollet concernant son 1er contacts avec les Légionnaires.
Amitiés Legio.
Des premiers contacts dira le futur général Rollet avec les légionnaires et dont il observe et écoute, il écrira. « Ce qui l'impressionne c'est de voir ces hommes dans une tenue correcte et comme il dira de même d'un comportement le jour « bon », il s saluent correctement ce qui pour lui est important comme marque de respect envers leurs supérieurs.
Cette bonne opinion lui est conférée quelque jours plus tard à propos d'une prise d'armes s'est la bonne tenue des légionnaires, il fait la remarque aussi de leur aire crâne est décidé leur correction, malgré le manque d'habitude de l'ordre serré, ce qui le surprend agréablement.
Ce qu'il étonne aussi malgré l'amalgame des diverses nationalités se malgré sait tout le synchronisme militaire réalisé sans difficulté : Allemand, Espagnol, Russe, Belge, Danois, Italien et Suisse sont tous capables de tout les dévouements. Les Américains alors que peu ce sont engagés à cette époque ne comprennent que l'anglais font de même.
Quant aux Français il n'est guère impressionné et dira même médiocrement impressionner, car ils ont la réputation de ne venir à la légion que lorsqu'ils n'ont eu engagé dans d'autres corps ; ils souhaitent servir sans prendre de risques, le but étant de faire homologuer leurs services antérieurs et d'obtenir, afin de leur contrat, une pension de retraite avec 15 ans de service. Beaucoup d'hommes ayant déjà servi, l'instruction progresse très rapidement et ne demande que trois mois.
Il est vrai que parmi les engagés, on trouve non seulement d'anciens militaires mais aussi d'anciens sous-officiers et même quelques officiers ayant dû démissionner pour manquement à l'éthique militaire.
Il découvre malheureusement un grave problème sérieux « l'alcoolisme » qui règne, et constate que, même s'ils ne sont pas ivrognes lorsqu'ils arrivent à la légion, les nouveaux engagés le deviennent presque tous, quel que soit la classe sociale à laquelle ils appartiennent avant de s'engager. Il le constate aussi dans les notes des rapports et à ce sujet sont étonnants voire même édifiants celle-ci venant de son supérieur le colonel Bertrand.
On retrouve ces propos dans une lettre adressée à sa mère, il en cite des extraits qui sont les plus significatifs ; dont voici un court extrait, le colonel invite les hommes ivres à ne pas stationner à « l'horloge » ; le colonel demande aux légionnaires de ne pas l'arrêter dans la rue lorsqu'ils sont ivres. Ils comptent sur l'intelligence et le bon sens de tous et espère qu'on ne lui signalera aucun fait regrettable il recommande, en outre, aux hommes n'ont pris de boisson, de ramener les ivrognes aux quartiers.
C’est notes ont une influence certaine sur les légionnaires : le 1er janvier 1900, le lieutenant-colonel constate que si « dans les rues de Sidi-bel-Abb ès, il y a quelques hommes pris de boisson, ceux-ci sont relativement calmes, et ne cherchent pas querelle au passant et se contentèrent de brailler des chansons dans toutes espèces de dialectes. »
À l'occasion de la fête des rois de 1900, il fait plus ample connaissance avec les trois sous-officiers de sa compagnie, dont son capitaine la prier de s'occuper.
L'un d'entre eux, est un vieux sergent aillant déjà à son actif 14 ans de service, il sucite son intérêt, Suisse, originaire du canton du Tessin, il s'est engagé en 1885, est parti en 1886 au Tonkin ou il a séjourné plus de sept ans. Rentré en Algérie en 1894, il est reparti six mois après jour le Soudan où il est resté deux ans en garnison, à Ségou. Médaillés militaires, décorée des médailles du Tonkin et d'Ammân et de la médaille coloniale avec agrafes « Soudan », il attend maintenant d'avoir accompli 15 ans de service pour prendre sa retraite.
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