4ème Régiment étranger
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4ème Régiment étranger
Créé en novembre 1920 à Marrakech, le 4ème Régiment étranger devient 4ème Régiment étranger d’infanterie en 1922. Dès sa création, il est engagé dans la pacification du Maroc puis dans la guerre du Riff contre ABD el KRIM, entre 1920 et 1934. Dans le même temps, le 4ème puis le 5ème bataillon du 4 s’illustrent au Levant, entre 1921 et 1926.
Dissous en novembre 1940 pour permettre la création des 11ème et 12ème Régiments étrangers d’infanterie puis de la 13ème DBLE, le 4ème étranger est recréé en 1941 sous l’appellation 4ème DBLE. C’est sous cette même appellation (puis sous celle de 1er REIM qu’il a pour l’essentiel contribué à constituer) qu’il participe en 1943 à la campagne de Tunisie, où il s’illustre au Djebel Zaghouan. Il est de nouveau dissous en juin 1943, ses effectifs étant versés au RMLE, régiment qui participera aux très dures campagnes de France et d’Allemagne.
Recréé en 1946, le 4ème étranger engage successivement ses bataillons à Madagascar (entre 1947 et 1951) mais aussi en extrêmeorient, où le 2ème puis le 5ème bataillon sont envoyés en unités constituées avant d’être amalgamés à d’autres régiments. A nouveau dissous en 1951, le « 4 » est recréé au Maroc en mars 1955, avant d’être engagé entre 1957 et 1964 en Algérie.
Le 1er septembre 1977, le drapeau du 4 est confié au régiment d’instruction de la Légion étrangère (RILE) qui a pris ses quartiers à Castelnaudary, un an plus tôt. Le 1er juin 1980, celui-ci prend le nom de 4ème Régiment étranger. Solidement implanté depuis 30 ans à Castelnaudary, tout d’abord au quartier LAPASSET puis au quartier DANJOU, sur le site des Cheminières, le régiment poursuit son oeuvre de formation des cadres, des spécialistes et des jeunes engagés volontaires, fort de ses 44 officiers, 170 sous-officiers et 358 militaires du rang permanents consacrés à cette mission unique et précieuse pour l’avenir de la Légion étrangère.
Au cours de cette histoire mouvementée, le « 4 » s'est illustré à de multiples occasions :
COMBATS de TINTEGHALINE, de TIZI N’RECHOU (1922)
COMBATS de TINTEGHALINE, de TIZI N’RECHOU (1922)
PRISE D’OUAOUIZERT (1922)
GUERRE DU RIFF (1924 – 1934)
LEVANT (1921 – 1926), MESSIFRE (1925)
CAMPAGNE DE TUNISIE (1943)
MADAGASCAR (1947 – 1951)
INDOCHINE (1949)
MAROC – ALGERIE (1955 - 1964)
La 1ère compagnie d'engagés volontaires du 4e Régiment étranger est l'héritière de la 24e compagnie montée du 1er Régiment étranger. En 1908, la 24ème compagnie montée, installée au Bou Denib, devient la 2e compagnie montée du même régiment. Elle se distingue au combat de Gaouz le 09 août 1918. Le 15 novembre 1920, elle devient la 2e compagnie montée du 3e REI puis, le 1er janvier 1922, compagnie montée. Elle est engagée au Maroc et participe aux opérations du djebel Sagho avec les combats de Bou-Gafer et du djebel Tsfert. A la fin de l'époque marocaine elle s'implante à Erfoud.
Le 20 novembre 1940, la compagnie montée tient garnison à Midelt et devient 8e compagnie mixte-montée. Elle fusionne en 1943 avec la 12e compagnie mixte-montée du 2e REI. Basée à Khénifra et rattachée au groupement des compagnies montées et portées du 3e REI, elle redevient le 1er octobre 1946, la compagnie montée mais de la 4e demi-brigade de Légion étrangère, et enfin le 16 octobre 1948 celle du 4e REI. Elle s'installe aussitôt à Ksar-èl-Souk.
Le 1er janvier 1950, la compagnie devient entièrement motorisée et prend la dénomination de compagnie portée du 4e REI. Elle comporte un peloton monté et un peloton porté sur Dodge et Latil. En 1952, la compagnie s'implante à Khénifra. Placée en réserve du général commandant supérieur des troupes du Maroc, elle constitue, aux dires du général Duval, le « fer de lance » de ses forces.
La création d'une nouvelle compagnie portée au sein du régiment provoque son changement d'appellation. Ainsi, elle devient 1ère compagnie portée du 4e Régiment étranger d'infanterie le 1er mars 1955. Au cours de l'été 1955, elle intègre le groupement mobile n°2 stationné au camp d'El Hajeb. Elle sauve Khénifra d'un massacre certain grâce à la foudroyante rapidité de son intervention le 19 août 1955. Jusqu'à son départ du Maroc en 1957, elle participe aux activités de maintien de l'ordre à Rabat, à Fès et à Séfrou.
Implantée en Algérie dans la région de Biskra puis dans celle de Négrine, elle gagne Hassi-Messaoud au mois de juillet 1962. Le 31 mars 1963, la 2e compagnie de sapeurs démineurs de la Légion, dissoute, se transforme en 1ère compagnie portée du 4e REI à Reggan. Le 30 avril 1964, elle prend la dénomination de 1ère compagnie portée du 2e REI.
Le 1er septembre 1977, la 1ère compagnie d'engagés volontaires du Groupement d'instruction de la Légion étrangère (GILE) s'installe à Castelnaudary. Elle devient la 1ère compagnie du Régiment d'instruction de la Légion étrangère (RILE). Enfin, le 1er juin 1980, elle devient la 1ère compagnie d'engagés volontaires du 4e RE.
Forte de 40 cadres permanents, la 1ère Compagnie d'engagés volontaires voit passer dans ses rangs environ 450 légionnaires par an destinés ensuite à servir dans les régiments de la Légion étrangère.
Héritière de la 2ème compagnie portée du 4ème Régiment étranger d’infanterie qui a forgé son histoire dans les combats du Maroc, la 2ème compagnie d’engagés volontaires du 4ème Régiment étranger a aujourd’hui vocation à former en instruction initiale environ 400 légionnaires par an.
Venus des 4 coins du monde, ces civils étrangers deviennent, en quatre mois d’une instruction exigeante mais progressive, des légionnaires aptes à être engagés immédiatement en opérations.
LA C.I.C. - La Compagnie d’Instruction des Cadres a pour principale mission de former les cadres non officiers de la Légion Etrangère. Elle vise notamment à développer l’aptitude au commandement, la capacité à instruire ses hommes et la connaissance des techniques du combat.
La C.I.C. forme chaque année 800 stagiaires dont 120 sous-officiers qui constituent l’élite des légionnaires.
LA C.I.S. - Chaque légionnaire doit avoir une qualification de combattant et de spécialiste. La C.I.S. organise 40 stages par an d’une durée de 3 à 16 semaines et forme 600 légionnaires et sous-officiers à une spécialité technique. L’instruction, qui s’appuie sur des moyens extrêmement performants, vise d’abord à former des spécialistes compétents sur le terrain et à détecter les meilleurs éléments qui constitueront les cadres, spécialistes de demain.
Opérateurs radio
Dépanneurs radio
Mécaniciens auto-engins blindés
Personnel administratif
Informatique
Spécialistes restauration
Moniteurs école de conduite
Brancardiers secouristes
Moniteurs de sport
Conducteurs moto, VL, PL, SPL et TC
La compagnie du "colonel"
La compagnie de commandement et des services à comme mission de Soutenir les compagnies du régiment dans leur mission d’instruction, tout en participant au renfort des autres régiments Légion dans le cadre des Missions de Courte Durée et des Opérations Extérieures.
Dans les domaines :
Administratif
Logistique
Santé
Instruction spécialisée
Pour cela, elle dispose de 6 grands services :
BUREAU INSTRUCTION EMPLOI
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
BUREAU MAINTENANCE LOGISTIQUE
SERVICES ADMINISTRATIFS ET FINANCIERS
SERVICE MEDICAL D’UNITE
CERCLE MESS
Dissous en novembre 1940 pour permettre la création des 11ème et 12ème Régiments étrangers d’infanterie puis de la 13ème DBLE, le 4ème étranger est recréé en 1941 sous l’appellation 4ème DBLE. C’est sous cette même appellation (puis sous celle de 1er REIM qu’il a pour l’essentiel contribué à constituer) qu’il participe en 1943 à la campagne de Tunisie, où il s’illustre au Djebel Zaghouan. Il est de nouveau dissous en juin 1943, ses effectifs étant versés au RMLE, régiment qui participera aux très dures campagnes de France et d’Allemagne.
Recréé en 1946, le 4ème étranger engage successivement ses bataillons à Madagascar (entre 1947 et 1951) mais aussi en extrêmeorient, où le 2ème puis le 5ème bataillon sont envoyés en unités constituées avant d’être amalgamés à d’autres régiments. A nouveau dissous en 1951, le « 4 » est recréé au Maroc en mars 1955, avant d’être engagé entre 1957 et 1964 en Algérie.
Le 1er septembre 1977, le drapeau du 4 est confié au régiment d’instruction de la Légion étrangère (RILE) qui a pris ses quartiers à Castelnaudary, un an plus tôt. Le 1er juin 1980, celui-ci prend le nom de 4ème Régiment étranger. Solidement implanté depuis 30 ans à Castelnaudary, tout d’abord au quartier LAPASSET puis au quartier DANJOU, sur le site des Cheminières, le régiment poursuit son oeuvre de formation des cadres, des spécialistes et des jeunes engagés volontaires, fort de ses 44 officiers, 170 sous-officiers et 358 militaires du rang permanents consacrés à cette mission unique et précieuse pour l’avenir de la Légion étrangère.
Au cours de cette histoire mouvementée, le « 4 » s'est illustré à de multiples occasions :
COMBATS de TINTEGHALINE, de TIZI N’RECHOU (1922)
COMBATS de TINTEGHALINE, de TIZI N’RECHOU (1922)
PRISE D’OUAOUIZERT (1922)
GUERRE DU RIFF (1924 – 1934)
LEVANT (1921 – 1926), MESSIFRE (1925)
CAMPAGNE DE TUNISIE (1943)
MADAGASCAR (1947 – 1951)
INDOCHINE (1949)
MAROC – ALGERIE (1955 - 1964)
La 1ère compagnie d'engagés volontaires du 4e Régiment étranger est l'héritière de la 24e compagnie montée du 1er Régiment étranger. En 1908, la 24ème compagnie montée, installée au Bou Denib, devient la 2e compagnie montée du même régiment. Elle se distingue au combat de Gaouz le 09 août 1918. Le 15 novembre 1920, elle devient la 2e compagnie montée du 3e REI puis, le 1er janvier 1922, compagnie montée. Elle est engagée au Maroc et participe aux opérations du djebel Sagho avec les combats de Bou-Gafer et du djebel Tsfert. A la fin de l'époque marocaine elle s'implante à Erfoud.
Le 20 novembre 1940, la compagnie montée tient garnison à Midelt et devient 8e compagnie mixte-montée. Elle fusionne en 1943 avec la 12e compagnie mixte-montée du 2e REI. Basée à Khénifra et rattachée au groupement des compagnies montées et portées du 3e REI, elle redevient le 1er octobre 1946, la compagnie montée mais de la 4e demi-brigade de Légion étrangère, et enfin le 16 octobre 1948 celle du 4e REI. Elle s'installe aussitôt à Ksar-èl-Souk.
Le 1er janvier 1950, la compagnie devient entièrement motorisée et prend la dénomination de compagnie portée du 4e REI. Elle comporte un peloton monté et un peloton porté sur Dodge et Latil. En 1952, la compagnie s'implante à Khénifra. Placée en réserve du général commandant supérieur des troupes du Maroc, elle constitue, aux dires du général Duval, le « fer de lance » de ses forces.
La création d'une nouvelle compagnie portée au sein du régiment provoque son changement d'appellation. Ainsi, elle devient 1ère compagnie portée du 4e Régiment étranger d'infanterie le 1er mars 1955. Au cours de l'été 1955, elle intègre le groupement mobile n°2 stationné au camp d'El Hajeb. Elle sauve Khénifra d'un massacre certain grâce à la foudroyante rapidité de son intervention le 19 août 1955. Jusqu'à son départ du Maroc en 1957, elle participe aux activités de maintien de l'ordre à Rabat, à Fès et à Séfrou.
Implantée en Algérie dans la région de Biskra puis dans celle de Négrine, elle gagne Hassi-Messaoud au mois de juillet 1962. Le 31 mars 1963, la 2e compagnie de sapeurs démineurs de la Légion, dissoute, se transforme en 1ère compagnie portée du 4e REI à Reggan. Le 30 avril 1964, elle prend la dénomination de 1ère compagnie portée du 2e REI.
Le 1er septembre 1977, la 1ère compagnie d'engagés volontaires du Groupement d'instruction de la Légion étrangère (GILE) s'installe à Castelnaudary. Elle devient la 1ère compagnie du Régiment d'instruction de la Légion étrangère (RILE). Enfin, le 1er juin 1980, elle devient la 1ère compagnie d'engagés volontaires du 4e RE.
Forte de 40 cadres permanents, la 1ère Compagnie d'engagés volontaires voit passer dans ses rangs environ 450 légionnaires par an destinés ensuite à servir dans les régiments de la Légion étrangère.
Héritière de la 2ème compagnie portée du 4ème Régiment étranger d’infanterie qui a forgé son histoire dans les combats du Maroc, la 2ème compagnie d’engagés volontaires du 4ème Régiment étranger a aujourd’hui vocation à former en instruction initiale environ 400 légionnaires par an.
Venus des 4 coins du monde, ces civils étrangers deviennent, en quatre mois d’une instruction exigeante mais progressive, des légionnaires aptes à être engagés immédiatement en opérations.
LA C.I.C. - La Compagnie d’Instruction des Cadres a pour principale mission de former les cadres non officiers de la Légion Etrangère. Elle vise notamment à développer l’aptitude au commandement, la capacité à instruire ses hommes et la connaissance des techniques du combat.
La C.I.C. forme chaque année 800 stagiaires dont 120 sous-officiers qui constituent l’élite des légionnaires.
LA C.I.S. - Chaque légionnaire doit avoir une qualification de combattant et de spécialiste. La C.I.S. organise 40 stages par an d’une durée de 3 à 16 semaines et forme 600 légionnaires et sous-officiers à une spécialité technique. L’instruction, qui s’appuie sur des moyens extrêmement performants, vise d’abord à former des spécialistes compétents sur le terrain et à détecter les meilleurs éléments qui constitueront les cadres, spécialistes de demain.
Opérateurs radio
Dépanneurs radio
Mécaniciens auto-engins blindés
Personnel administratif
Informatique
Spécialistes restauration
Moniteurs école de conduite
Brancardiers secouristes
Moniteurs de sport
Conducteurs moto, VL, PL, SPL et TC
La compagnie du "colonel"
La compagnie de commandement et des services à comme mission de Soutenir les compagnies du régiment dans leur mission d’instruction, tout en participant au renfort des autres régiments Légion dans le cadre des Missions de Courte Durée et des Opérations Extérieures.
Dans les domaines :
Administratif
Logistique
Santé
Instruction spécialisée
Pour cela, elle dispose de 6 grands services :
BUREAU INSTRUCTION EMPLOI
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
BUREAU MAINTENANCE LOGISTIQUE
SERVICES ADMINISTRATIFS ET FINANCIERS
SERVICE MEDICAL D’UNITE
CERCLE MESS
Dernière édition par Admin le Mar 17 Nov - 10:02, édité 1 fois
Re: 4ème Régiment étranger
Regroupant en permanence
250 personnels d'encadrement
(officiers, sous-officiers et gradés)
300 personnels de soutien
300 stagiaires spécialistes ou futur gradés
320 jeunes légionnaires
Qu'il soit jeune engagé, légionnaire stagiaire arrivant d'Outre-mer, caporal-chef de plus de 20 ans de service, sous-officier expérimenté aux multiples affectations ou jeune officier sortant d'école, chacun s'enrichit et enrichit de son expérience et de sa culture, tous ceux qui le côtoient.
La diversité des nationalités (trois-quarts d'étrangers, plus de 110 nationalités rassemblées) fait du 4ème Régiment Étranger une société d'une richesse inestimable pour laquelle ”Legio Patia Nostra” est le symbole. Les légionnaires ayant le plus d'années de service (5 à 15 ans) sont pour la plupart regroupés à la Compagnie de Commandement et des services (CCS).
Leur rôle est d'assurer le soutien de tout le régiment, dans des domaines aussi importants que variés : la santé, l'alimentation, la gestion du personnel, l'administration et les finances, l'entretien de l'infrastructure et des matériels, les transmissions radio et téléphoniques, les transports, la police militaire, etc. Avec ses 300 cadres et légionnaires, la CCS est la compagnie la plus nombreuse, mais aussi le rouage indispensable du 4ème Régiment Etranger.
250 personnels d'encadrement
(officiers, sous-officiers et gradés)
300 personnels de soutien
300 stagiaires spécialistes ou futur gradés
320 jeunes légionnaires
Qu'il soit jeune engagé, légionnaire stagiaire arrivant d'Outre-mer, caporal-chef de plus de 20 ans de service, sous-officier expérimenté aux multiples affectations ou jeune officier sortant d'école, chacun s'enrichit et enrichit de son expérience et de sa culture, tous ceux qui le côtoient.
La diversité des nationalités (trois-quarts d'étrangers, plus de 110 nationalités rassemblées) fait du 4ème Régiment Étranger une société d'une richesse inestimable pour laquelle ”Legio Patia Nostra” est le symbole. Les légionnaires ayant le plus d'années de service (5 à 15 ans) sont pour la plupart regroupés à la Compagnie de Commandement et des services (CCS).
Leur rôle est d'assurer le soutien de tout le régiment, dans des domaines aussi importants que variés : la santé, l'alimentation, la gestion du personnel, l'administration et les finances, l'entretien de l'infrastructure et des matériels, les transmissions radio et téléphoniques, les transports, la police militaire, etc. Avec ses 300 cadres et légionnaires, la CCS est la compagnie la plus nombreuse, mais aussi le rouage indispensable du 4ème Régiment Etranger.
Re: 4ème Régiment étranger
"La 1ère compagnie d'enragés volontaires du 4e Régiment étranger est l'héritière..."
Daniel, tu remarqueras que je suis et surtout que je lis toutes les lignes;
Bon tu me diras, pour des legionnaires, enrages ou engages...Y a pas grosse difference
Daniel, tu remarqueras que je suis et surtout que je lis toutes les lignes;
Bon tu me diras, pour des legionnaires, enrages ou engages...Y a pas grosse difference
Invité- Invité
Re: 4ème Régiment étranger
Chef, bien chef
Merci, je pourrai donc m'en servir a l'occasion.
Merci, je pourrai donc m'en servir a l'occasion.
Invité- Invité
Re: 4ème Régiment étranger
Perso, le 4e RE m'a laissé un souvenir paradoxal...
Durant l'instruction, je l'ai détesté... Les 4 mois ont été passés à "ramasser" sans toujours savoir pourquoi et finalement, l'affectation en régiment de combat qui a suivit m'a permis de comprendre que je n'y avais rien appris et que tout restait à faire...
Puis, j'y suis retourné des années plus tard, pour servir durant un an comme sergent-instructeur (les fameux 3 groupements que "doivent" tous les sous-officiers de la branche 00 !)... Et bien cette fois, j'en ai gardé un excellent souvenir !...
D'abord, j'y ai rencontré le meilleur sous-officier de toute ma carrière, l'adjudant Portzenem, un de ces maréchaux de la Légion qui depuis, est toujours resté mon modèle... Il avait les trois qualités du chef de section de combat, celles qu'hélas, la plupart des officiers n'arrivent jamais à avoir toutes ensembles: la compétence professionnelle et technique, l'amour des hommes et une exceptionnelle condition physique.
Ensuite, même si le régiment n'était pas opérationnel au sens premier du terme, nous passions nos journées à craputer dans les cadres les plus grandioses qu'il soit (Pyrénées, Montagnes Noires, etc...). Les sections de plus, jouissaient d'une grande autonomie. Il y avait un programme à suivre mais nous pouvions l'adapter à notre guise. Seul comptait le résultat final... Bref, on était bien !
Quelques photos d'une marche képi blanc dans les Pyrénées...
1/ ca grimpe dur mais les gars sont préparés...
2/ Sur les crètes du Canigou...
3/ Au sommet...
4/ Avec mes jeunes EV...
5/ La remise du képi bien mérité pour nos EV...
Durant l'instruction, je l'ai détesté... Les 4 mois ont été passés à "ramasser" sans toujours savoir pourquoi et finalement, l'affectation en régiment de combat qui a suivit m'a permis de comprendre que je n'y avais rien appris et que tout restait à faire...
Puis, j'y suis retourné des années plus tard, pour servir durant un an comme sergent-instructeur (les fameux 3 groupements que "doivent" tous les sous-officiers de la branche 00 !)... Et bien cette fois, j'en ai gardé un excellent souvenir !...
D'abord, j'y ai rencontré le meilleur sous-officier de toute ma carrière, l'adjudant Portzenem, un de ces maréchaux de la Légion qui depuis, est toujours resté mon modèle... Il avait les trois qualités du chef de section de combat, celles qu'hélas, la plupart des officiers n'arrivent jamais à avoir toutes ensembles: la compétence professionnelle et technique, l'amour des hommes et une exceptionnelle condition physique.
Ensuite, même si le régiment n'était pas opérationnel au sens premier du terme, nous passions nos journées à craputer dans les cadres les plus grandioses qu'il soit (Pyrénées, Montagnes Noires, etc...). Les sections de plus, jouissaient d'une grande autonomie. Il y avait un programme à suivre mais nous pouvions l'adapter à notre guise. Seul comptait le résultat final... Bref, on était bien !
Quelques photos d'une marche képi blanc dans les Pyrénées...
1/ ca grimpe dur mais les gars sont préparés...
2/ Sur les crètes du Canigou...
3/ Au sommet...
4/ Avec mes jeunes EV...
5/ La remise du képi bien mérité pour nos EV...
Dernière édition par Manu le Lun 14 Déc - 9:16, édité 1 fois (Raison : erreurs)
Invité- Invité
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