Ephemeride du Mardi 23 Juillet 2013
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Ephemeride du Mardi 23 Juillet 2013
Mardi 23 Juillet 2013
204 eme jour de l'année.
30eme semaine de l'année.
Bonne fête aux :
Appolinaire
Appoline
Appolos
Brigitte : Le prénom Brigitte vient du prénom gaélique Brighid.
Offrez-lui des fleurs !
Voir aussi les Jours Fériés
Phase de la lune
Ephéméride
Mardi 23 Juillet 2013
23-07-1945 : Début du procès Pétain.
23-07-1951 : Mort à l'île d'Yeu du maréchal Pétain.
23-07-1952 : Entrée en vigueur du traité CECA. Jean Monnet est nommé président de la Haute Autorité et Paul-Henri Spaak, président de l'Assemblée commune.
23-07-1967 : Le coureur cycliste britannique Tom Simpson meurt terrassé par une crise cardiaque dans le Tour de France après l'absorption de produits dopants.
23-07-1976 : Mort de Paul Morand.
23-07-1976 : Mort de Paul Morand.
23-07-1979 : Mort de l'écrivain Joseph Kessel.
23-07-1983 : Mort du musicien Georges Auric.
23-07-1985 : Vrai sabotage du bateau de Greenpeace par un faux couple français.
23-07-1986 : Mariage du prince Andrew, deuxième fils de la Reine Elizabeth II, avec Sarah Fergusson.
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Mardi 23 Juillet 2013
23-07-1945 : Début du procès Pétain.
23-07-1951 : Mort à l'île d'Yeu du maréchal Pétain.
23-07-1952 : Entrée en vigueur du traité CECA. Jean Monnet est nommé président de la Haute Autorité et Paul-Henri Spaak, président de l'Assemblée commune.
23-07-1967 : Le coureur cycliste britannique Tom Simpson meurt terrassé par une crise cardiaque dans le Tour de France après l'absorption de produits dopants.
23-07-1976 : Mort de Paul Morand.
23-07-1976 : Mort de Paul Morand.
23-07-1979 : Mort de l'écrivain Joseph Kessel.
23-07-1983 : Mort du musicien Georges Auric.
23-07-1985 : Vrai sabotage du bateau de Greenpeace par un faux couple français.
23-07-1986 : Mariage du prince Andrew, deuxième fils de la Reine Elizabeth II, avec Sarah Fergusson.
Invité- Invité
Re: Ephemeride du Mardi 23 Juillet 2013
En juillet 1985, le Rainbow Warrior (le « Guerrier Arc-en-ciel » en anglais), bateau de l'organisation écologiste Greenpeace, est amarré à Auckland en Nouvelle-Zélande. Son but est d’emmener d’autres bateaux vers l’atoll de Mururoa pour protester contre les essais nucléaires français et les gêner dans la mesure du possible.
L'opération se déroule le 10 juillet 1985. Le matériel est transféré d'une camionnette de location, utilisée par deux agents appelés les faux époux Turenge dans un canot pneumatique piloté par trois nageurs de combat. Le pilote, identifié comme l'homme au bonnet rouge et surnommé Pierre le Marin1, serait Gérard Royal1 (frère de la socialiste Ségolène Royal). Il quittera le service avec le grade de lieutenant-colonel2. À 23 h 50, le navire est coulé, mais le photographe néerlandais, d'origine portugaise, Fernando Pereira, parti récupérer, après une première explosion, ses équipements photographiques, se trouve piégé à l'intérieur du navire et meurt lors d'une seconde explosion.
Les faux époux Turenge sont facilement arrêtés par la police néo-zélandaise d'Auckland à cause de la camionnette qu'ils ont louée pour récupérer les plongeurs chargés de placer les explosifs. Un concours de circonstances fait que, un certain nombre de cambriolages ayant précédemment eu lieu sur le port, un vigile placé là en surveillance, voyant cette camionnette attendant dans un coin discret, note son numéro d’immatriculation, ce qui permet à la police de réagir rapidement.
Dès le 12 juillet à 9 h du matin, la police néo-zélandaise interpelle deux touristes suisses munis de faux papiers3, les « faux époux Turenge », qui sont en fait deux agents de la DGSE, le chef de bataillon Alain Mafart et le capitaine Dominique Maire, épouse Prieur. Méfiant, le surintendant Alan Galbraith, chef de la Criminal Investigation Branch envoie deux télex, l'un à Londres, l'autre à Berne. La réponse arrive le 14 juillet : ces passeports sont des faux. La presse néo-zélandaise commence à mettre en cause les services spéciaux français.
Les protagonistes sont définitivement identifiés comme étant les poseurs de bombe grâce à leurs empreintes digitales retrouvées sous le canot pneumatique qui avait servi à poser la bombe. À cette époque la technique pour relever des empreintes sur un objet ayant séjourné dans l'eau (comme ce fut le cas pour le dessous du canot) était très peu répandue. Cependant, une équipe d'experts internationaux, qui se trouvait sur place à cette époque, mit à disposition son savoir-faire, tout nouveau, et releva les empreintes qui, quelques mois auparavant, seraient restées inexploitables.
Ils sont inculpés de meurtre le 23 juillet. Le Premier ministre néo-zélandais, David Lange, accuse des « éléments étrangers » d'avoir pris part à l'attentat, visant implicitement la France. Le 26 juillet, la justice néo-zélandaise lance un mandat d'arrêt international contre les passagers d'un voilier Ouvéa, qui a levé l'ancre d'Auckland la veille du sabotage et contre l'agent de la DGSE qui avait infiltré l'organisation avant l'opération pour faire des repérages.
Du côté français, Pierre Joxe, alors ministre de l'Intérieur, décide de lancer une enquête de police et organise la fuite des informations vers la presse4. Ces fuites permettent à l'enquête néo-zélandaise de progresser très rapidement et déclenchent un important scandale médiatique. Selon les participants de l'opération, le but de Pierre Joxe aurait été de se débarrasser de Charles Hernu, ministre de la Défense, alors proche de Mitterrand, et rival politique au sein du gouvernement5.
Alors que Charles Hernu nie toujours toute implication de la DGSE, l'imminence de la publication de documents compromettants décide François Mitterrand à commander le 6 août un rapport au conseiller d'État Bernard Tricot, remis le 26 août et qui blanchit la DGSE, suscitant même les doutes du Premier ministre Laurent Fabius. Après la révélation le 17 septembre par le quotidien le Monde de l’existence d’une troisième équipe6 alors que la défense de la France s'appuyait sur l'impossibilité pour les faux époux Turenge et les hommes de l'Ouvéa d'avoir commis l'attentat, le scandale rebondit. Le surlendemain, le Président réclame à son Premier ministre des sanctions. Le 20 septembre, le ministre de la Défense Charles Hernu démissionne et l’amiral Pierre Lacoste, patron de la DGSE, est limogé. Le 22 septembre, Laurent Fabius finit par admettre à la télévision que les services secrets français avaient mené l’attaque du Rainbow Warrior.
Le 4 novembre 1985, Alain Mafart et Dominique Prieur comparaissent devant la cour d'Auckland pour les premières auditions ; ils plaident coupable d’homicide involontaire. Le 22 novembre, ils sont condamnés à 10 ans de prison7. Ils sont transférés en juillet 1986 sur l'atoll de Hao en Polynésie et affectés au 5e régiment étranger pour administration. Ils seront rapatriés en métropole séparément.
Le procès a été filmé malgré l'opposition des Français, puis a été diffusé sur une chaîne nationale à partir du 26 septembre 2006. Les agents français ont été déboutés par les juridictions néo-zélandaises de leur opposition à la diffusion de la vidéo du procès8,9,10.
Il avait été envisagé par les services français de dégrader le gazole du navire en déversant des bactéries dans les réservoirs, avant de retenir l'option de la bombe11.
Le 29 septembre 2006, Antoine Royal déclare à la presse que son frère Gérard Royal se serait vanté d'avoir lui-même posé la bombe, ce que l'intéressé a refusé de confirmer12. Le premier ministre néo-zélandais a exclu toute nouvelle action concernant le Rainbow Warrior compte tenu des engagements internationaux pris entre la France et la Nouvelle Zélande13.
L'opération se déroule le 10 juillet 1985. Le matériel est transféré d'une camionnette de location, utilisée par deux agents appelés les faux époux Turenge dans un canot pneumatique piloté par trois nageurs de combat. Le pilote, identifié comme l'homme au bonnet rouge et surnommé Pierre le Marin1, serait Gérard Royal1 (frère de la socialiste Ségolène Royal). Il quittera le service avec le grade de lieutenant-colonel2. À 23 h 50, le navire est coulé, mais le photographe néerlandais, d'origine portugaise, Fernando Pereira, parti récupérer, après une première explosion, ses équipements photographiques, se trouve piégé à l'intérieur du navire et meurt lors d'une seconde explosion.
Les faux époux Turenge sont facilement arrêtés par la police néo-zélandaise d'Auckland à cause de la camionnette qu'ils ont louée pour récupérer les plongeurs chargés de placer les explosifs. Un concours de circonstances fait que, un certain nombre de cambriolages ayant précédemment eu lieu sur le port, un vigile placé là en surveillance, voyant cette camionnette attendant dans un coin discret, note son numéro d’immatriculation, ce qui permet à la police de réagir rapidement.
Dès le 12 juillet à 9 h du matin, la police néo-zélandaise interpelle deux touristes suisses munis de faux papiers3, les « faux époux Turenge », qui sont en fait deux agents de la DGSE, le chef de bataillon Alain Mafart et le capitaine Dominique Maire, épouse Prieur. Méfiant, le surintendant Alan Galbraith, chef de la Criminal Investigation Branch envoie deux télex, l'un à Londres, l'autre à Berne. La réponse arrive le 14 juillet : ces passeports sont des faux. La presse néo-zélandaise commence à mettre en cause les services spéciaux français.
Les protagonistes sont définitivement identifiés comme étant les poseurs de bombe grâce à leurs empreintes digitales retrouvées sous le canot pneumatique qui avait servi à poser la bombe. À cette époque la technique pour relever des empreintes sur un objet ayant séjourné dans l'eau (comme ce fut le cas pour le dessous du canot) était très peu répandue. Cependant, une équipe d'experts internationaux, qui se trouvait sur place à cette époque, mit à disposition son savoir-faire, tout nouveau, et releva les empreintes qui, quelques mois auparavant, seraient restées inexploitables.
Ils sont inculpés de meurtre le 23 juillet. Le Premier ministre néo-zélandais, David Lange, accuse des « éléments étrangers » d'avoir pris part à l'attentat, visant implicitement la France. Le 26 juillet, la justice néo-zélandaise lance un mandat d'arrêt international contre les passagers d'un voilier Ouvéa, qui a levé l'ancre d'Auckland la veille du sabotage et contre l'agent de la DGSE qui avait infiltré l'organisation avant l'opération pour faire des repérages.
Du côté français, Pierre Joxe, alors ministre de l'Intérieur, décide de lancer une enquête de police et organise la fuite des informations vers la presse4. Ces fuites permettent à l'enquête néo-zélandaise de progresser très rapidement et déclenchent un important scandale médiatique. Selon les participants de l'opération, le but de Pierre Joxe aurait été de se débarrasser de Charles Hernu, ministre de la Défense, alors proche de Mitterrand, et rival politique au sein du gouvernement5.
Alors que Charles Hernu nie toujours toute implication de la DGSE, l'imminence de la publication de documents compromettants décide François Mitterrand à commander le 6 août un rapport au conseiller d'État Bernard Tricot, remis le 26 août et qui blanchit la DGSE, suscitant même les doutes du Premier ministre Laurent Fabius. Après la révélation le 17 septembre par le quotidien le Monde de l’existence d’une troisième équipe6 alors que la défense de la France s'appuyait sur l'impossibilité pour les faux époux Turenge et les hommes de l'Ouvéa d'avoir commis l'attentat, le scandale rebondit. Le surlendemain, le Président réclame à son Premier ministre des sanctions. Le 20 septembre, le ministre de la Défense Charles Hernu démissionne et l’amiral Pierre Lacoste, patron de la DGSE, est limogé. Le 22 septembre, Laurent Fabius finit par admettre à la télévision que les services secrets français avaient mené l’attaque du Rainbow Warrior.
Le 4 novembre 1985, Alain Mafart et Dominique Prieur comparaissent devant la cour d'Auckland pour les premières auditions ; ils plaident coupable d’homicide involontaire. Le 22 novembre, ils sont condamnés à 10 ans de prison7. Ils sont transférés en juillet 1986 sur l'atoll de Hao en Polynésie et affectés au 5e régiment étranger pour administration. Ils seront rapatriés en métropole séparément.
Le procès a été filmé malgré l'opposition des Français, puis a été diffusé sur une chaîne nationale à partir du 26 septembre 2006. Les agents français ont été déboutés par les juridictions néo-zélandaises de leur opposition à la diffusion de la vidéo du procès8,9,10.
Il avait été envisagé par les services français de dégrader le gazole du navire en déversant des bactéries dans les réservoirs, avant de retenir l'option de la bombe11.
Le 29 septembre 2006, Antoine Royal déclare à la presse que son frère Gérard Royal se serait vanté d'avoir lui-même posé la bombe, ce que l'intéressé a refusé de confirmer12. Le premier ministre néo-zélandais a exclu toute nouvelle action concernant le Rainbow Warrior compte tenu des engagements internationaux pris entre la France et la Nouvelle Zélande13.
Invité- Invité
Re: Ephemeride du Mardi 23 Juillet 2013
Henri Philippe Benoni Omer Joseph Pétain, plus connu simplement sous le nom de Philippe Pétain (le maréchal Pétain ou le lion de Verdun), né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour (Pas-de-Calais) et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l'île d'Yeu, est un militaire, diplomate, homme politique et homme d'État français.
Chef militaire à l'action importante au cours de la Première Guerre mondiale, Pétain est généralement présenté comme le « vainqueur de la bataille de Verdun » et, avec Georges Clemenceau, comme l'artisan du redressement du moral des troupes après les mutineries de 1917. Il est nommé commandant en chef des forces françaises et le reste jusqu'à la fin de la guerre, bien qu'en 1918, la direction de l'ensemble des armées alliées lui échappe au profit de son rival Ferdinand Foch.
Pétain est fait maréchal de France en novembre 1918.
En 1925, Pétain devient commandant des forces françaises combattant aux côtés de l'Espagne dans la guerre du Rif, en lieu et place du maréchal Lyautey à ce poste depuis 1912. Auréolé d'un immense prestige au lendemain de la guerre, Pétain devient académicien en 1929 et occupe brièvement les fonctions de ministre de la Guerre, de février à novembre 1934, puis d'ambassadeur en Espagne (1939).
Rappelé au gouvernement le 17 mai 1940 au moment de l'invasion allemande, il s'oppose à la poursuite d'une guerre qu'il considère comme perdue et dont il impute bientôt la responsabilité au régime républicain. Chef de file des partisans de l'arrêt des combats, il devient président du Conseil en remplacement de Paul Reynaud le soir du 16 juin et appelle, dès le 17, à cesser le combat. Il fait signer l’armistice du 22 juin 1940 avec l'Allemagne d'Adolf Hitler à Rethondes, retirant la France du conflit.
Investi des pleins pouvoirs constituants par l'Assemblée nationale le 10 juillet 1940, il s'octroie le lendemain le titre de Chef de l'État français, qu'il conserve durant les quatre années de l'occupation allemande. Installé à Vichy à la tête d'un régime autoritaire, il abolit les institutions républicaines et les libertés fondamentales. Il engage le pays dans la Révolution nationale et dans la collaboration d'État avec l’Allemagne nazie.
Jugé à la Libération pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison par la Haute Cour de justice, il est, par arrêt du 15 août 1945, frappé d'indignité nationale, condamné à la confiscation de ses biens et à la peine de mort, la cour recommandant la non-application de cette dernière en raison de son grand âge. Sa peine est commuée en emprisonnement à perpétuité par le général de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République française. Il meurt en détention sur l’île d’Yeu, où il est inhumé.
Chef militaire à l'action importante au cours de la Première Guerre mondiale, Pétain est généralement présenté comme le « vainqueur de la bataille de Verdun » et, avec Georges Clemenceau, comme l'artisan du redressement du moral des troupes après les mutineries de 1917. Il est nommé commandant en chef des forces françaises et le reste jusqu'à la fin de la guerre, bien qu'en 1918, la direction de l'ensemble des armées alliées lui échappe au profit de son rival Ferdinand Foch.
Pétain est fait maréchal de France en novembre 1918.
En 1925, Pétain devient commandant des forces françaises combattant aux côtés de l'Espagne dans la guerre du Rif, en lieu et place du maréchal Lyautey à ce poste depuis 1912. Auréolé d'un immense prestige au lendemain de la guerre, Pétain devient académicien en 1929 et occupe brièvement les fonctions de ministre de la Guerre, de février à novembre 1934, puis d'ambassadeur en Espagne (1939).
Rappelé au gouvernement le 17 mai 1940 au moment de l'invasion allemande, il s'oppose à la poursuite d'une guerre qu'il considère comme perdue et dont il impute bientôt la responsabilité au régime républicain. Chef de file des partisans de l'arrêt des combats, il devient président du Conseil en remplacement de Paul Reynaud le soir du 16 juin et appelle, dès le 17, à cesser le combat. Il fait signer l’armistice du 22 juin 1940 avec l'Allemagne d'Adolf Hitler à Rethondes, retirant la France du conflit.
Investi des pleins pouvoirs constituants par l'Assemblée nationale le 10 juillet 1940, il s'octroie le lendemain le titre de Chef de l'État français, qu'il conserve durant les quatre années de l'occupation allemande. Installé à Vichy à la tête d'un régime autoritaire, il abolit les institutions républicaines et les libertés fondamentales. Il engage le pays dans la Révolution nationale et dans la collaboration d'État avec l’Allemagne nazie.
Jugé à la Libération pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison par la Haute Cour de justice, il est, par arrêt du 15 août 1945, frappé d'indignité nationale, condamné à la confiscation de ses biens et à la peine de mort, la cour recommandant la non-application de cette dernière en raison de son grand âge. Sa peine est commuée en emprisonnement à perpétuité par le général de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République française. Il meurt en détention sur l’île d’Yeu, où il est inhumé.
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