Les Paras-Commandos Belges
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Les Paras-Commandos Belges
A son origine, le régiment comprend un état-major, deux bataillons (1 Para, 2 Commando), deux centres d'entraînement (parachutiste et commando) et un centre d'instruction où sont incorporées les nouvelles recrues.
Dans le cadre de ses missions, le régiment doit, entre autres, opérer au Congo belge. En avril 1953, un détachement de reconnaissance est envoyé sur place. Il en résultera une organisation en détachements successifs de miliciens (appelés du contingent) qui serviront une grande partie de leur service militaire à la colonie. L'immensité du territoire impose pour tous les membres du nouveau régiment la formation au saut en parachute. Pour des raisons d'homogénéité, il est décidé que dorénavant tout le monde recevra les deux formations : para et commando. C'est dans cet esprit qu'est créé, en 1955, un troisième bataillon qui s'appellera 3 Bataillon Para-Commando. En 1959 est créé un quatrième bataillon auquel est donné le nom de 4 Commando et, pour l'équilibre, le nom du troisième bataillon est simplifié en 3 Para. Les paras et commandos ne se différencient que par la couleur du béret (rouge ou vert), mais que tous reçoivent désormais les deux formations. Les événements de 1960 au Congo amènent les autorités belges à mobiliser deux bataillons de réserve : le 5 Para-commando et le 6 Commando.
Après le retour d'Afrique, l'organisation du régiment Para-Commando se simplifie. Le régiment comprend :
un état-major et compagnie QG
trois bataillons de combat d'active : 1Para, 2Cdo, 3Para
un bataillon de combat de réserve : 4Cdo
un centre d'entraînement au parachutage
un peloton de ravitaillement par air (intégré au centre d'entraînement au parachutage)
un centre d'entraînement commando
une compagnie école (intégrée ultérieurement au centre d'entraînement commando)
une compagnie antichar (avec missiles ENTAC) créée en 1963
une batterie d'artillerie (avec obusiers 105 mm tractés) créée en 1974
un escadron de reconnaissance (sur chenillés légers CVRT) créé en 1975
un détachement frogmen (nageurs de combat, intégrés ultérieurement au centre d'entraînement commando)officialisé en 1971
un noyau mobilisateur
un centre médical
Les para-commandos ont toujours été recrutés sur base volontaire y compris les miliciens qui devaient y effectuer un service militaire plus long mais … plus exaltant !
Pour pallier un manque de personnel d'active, des volontaires féminins sont incorporés en 1975. Comme le but est de leur assigner des fonctions non combattantes (employées, plieuses et réparatrices de parachutes …), les critères physiques pour l'obtention du béret et du brevet commando sont adaptés. On constata que dans ce type d'unité, l'expérience n'était guère concluante et en 1988, il ne restait plus que 5 para-commandos féminins au régiment.
En 1988, le régiment comprenait 160 officiers, 450 sous-officiers et 1600 caporaux et soldats; le nombre de miliciens avait drastiquement chuté à 300 suite aux impératifs de "professionnalisation" imposés par les "hautes autorités".
La fomation para-commando a, d'une manière générale, toujours compris une instruction de base d'une durée de 3 à 4 mois suivie du camp commando et du stage parachutiste. L'instruction de base comprend une formation de fusilier accompagnée d'une formation physique (marche rapide de 16 Km avec arme et équipement de base en moins de 100 minutes, pistes d'obstacles et de corde chronométrées ...). Auparavant, le béret rouge ou vert était remis à l'issue de tests en fin de cette période. Par la suite, il a été décidé de le remettre après le camp commando en même temps que le brevet du même nom.
Le camp commando comprend les activités suivantes : rocher, techniques amphibies, close combat, techniques commando ... La durée est de un mois. Le camp se termine par un raid d'une semaine (le plus connu étant le raid de Corse partant de la base de Solenzara en direction de l'Incudine et des aiguilles de Bavella). Les candidats ayant réussi les épreuves obtiennent le brevet A Commando dont l'insigne est un triangle noir,pointe en bas, avec un poignard blanc porté sur la manche droite à hauteur de l'épaule.
Le stage parachutiste d'une durée d'un mois forme le candidat au saut à ouverture automatique de jour comme de nuit et avec l'équipement opérationnel (arme, sac, gaine). On y apprend également la constitution de colis parachutables (mitrailleuse, mortier, radio ...) et certaines activités tactiques à l'atterrissage. A l'issue du stage qui comprend 8 sauts, est remis le brevet A Para dont l'insigne, appelé "wings" consiste en deux ailes bleues encadrant un parachute blanc. L'insigne se porte sur la poitrine au dessus de la poche droite.
L'entraînement para-commando se déroule en Belgique mais aussi à l'étranger.
Avant 1960, les appelés accomplissaient une période de 6 mois d'activités au Congo belge. Le commandant Militis et ses instructeurs y avaient mis au point un exercice de survie dont la réputation déborda du cadre belge. Le Congo permettait, bien entendu, de nombreux autres exercices et sauts en parachute. Après 1960, la Belgique participe à la Force Mobile de l'OTAN avec un bataillon renforcé. Cela permet aux unités de se déployer en Turquie, en Grèce, en Italie, au Danemark et même en Norvège septentrionale. Chaque année, les unités se rendent en Grande-Bretagne au camp d'Otterburn dans les Cheviots hills. Ce camp est particulièrement conçu pour permettre des attaques à feux réels jusqu'au niveau compagnie et des tirs défensifs jusqu'au niveau bataillon. En plus des exercices extrêmement réalistes, le climat et le relief de la région laissent à tous les para-commandos des souvenirs inoubliables. Le programme d'entraînement ne s'arrête toutefois pas là; il comprend également des exercices et des sauts avec les unités d'élite françaises, espagnoles, portugaises, allemandes, hollandaises, britanniques, américaines.
Amitiés Légio More Majorum
Daniel
Dans le cadre de ses missions, le régiment doit, entre autres, opérer au Congo belge. En avril 1953, un détachement de reconnaissance est envoyé sur place. Il en résultera une organisation en détachements successifs de miliciens (appelés du contingent) qui serviront une grande partie de leur service militaire à la colonie. L'immensité du territoire impose pour tous les membres du nouveau régiment la formation au saut en parachute. Pour des raisons d'homogénéité, il est décidé que dorénavant tout le monde recevra les deux formations : para et commando. C'est dans cet esprit qu'est créé, en 1955, un troisième bataillon qui s'appellera 3 Bataillon Para-Commando. En 1959 est créé un quatrième bataillon auquel est donné le nom de 4 Commando et, pour l'équilibre, le nom du troisième bataillon est simplifié en 3 Para. Les paras et commandos ne se différencient que par la couleur du béret (rouge ou vert), mais que tous reçoivent désormais les deux formations. Les événements de 1960 au Congo amènent les autorités belges à mobiliser deux bataillons de réserve : le 5 Para-commando et le 6 Commando.
Après le retour d'Afrique, l'organisation du régiment Para-Commando se simplifie. Le régiment comprend :
un état-major et compagnie QG
trois bataillons de combat d'active : 1Para, 2Cdo, 3Para
un bataillon de combat de réserve : 4Cdo
un centre d'entraînement au parachutage
un peloton de ravitaillement par air (intégré au centre d'entraînement au parachutage)
un centre d'entraînement commando
une compagnie école (intégrée ultérieurement au centre d'entraînement commando)
une compagnie antichar (avec missiles ENTAC) créée en 1963
une batterie d'artillerie (avec obusiers 105 mm tractés) créée en 1974
un escadron de reconnaissance (sur chenillés légers CVRT) créé en 1975
un détachement frogmen (nageurs de combat, intégrés ultérieurement au centre d'entraînement commando)officialisé en 1971
un noyau mobilisateur
un centre médical
Les para-commandos ont toujours été recrutés sur base volontaire y compris les miliciens qui devaient y effectuer un service militaire plus long mais … plus exaltant !
Pour pallier un manque de personnel d'active, des volontaires féminins sont incorporés en 1975. Comme le but est de leur assigner des fonctions non combattantes (employées, plieuses et réparatrices de parachutes …), les critères physiques pour l'obtention du béret et du brevet commando sont adaptés. On constata que dans ce type d'unité, l'expérience n'était guère concluante et en 1988, il ne restait plus que 5 para-commandos féminins au régiment.
En 1988, le régiment comprenait 160 officiers, 450 sous-officiers et 1600 caporaux et soldats; le nombre de miliciens avait drastiquement chuté à 300 suite aux impératifs de "professionnalisation" imposés par les "hautes autorités".
La fomation para-commando a, d'une manière générale, toujours compris une instruction de base d'une durée de 3 à 4 mois suivie du camp commando et du stage parachutiste. L'instruction de base comprend une formation de fusilier accompagnée d'une formation physique (marche rapide de 16 Km avec arme et équipement de base en moins de 100 minutes, pistes d'obstacles et de corde chronométrées ...). Auparavant, le béret rouge ou vert était remis à l'issue de tests en fin de cette période. Par la suite, il a été décidé de le remettre après le camp commando en même temps que le brevet du même nom.
Le camp commando comprend les activités suivantes : rocher, techniques amphibies, close combat, techniques commando ... La durée est de un mois. Le camp se termine par un raid d'une semaine (le plus connu étant le raid de Corse partant de la base de Solenzara en direction de l'Incudine et des aiguilles de Bavella). Les candidats ayant réussi les épreuves obtiennent le brevet A Commando dont l'insigne est un triangle noir,pointe en bas, avec un poignard blanc porté sur la manche droite à hauteur de l'épaule.
Le stage parachutiste d'une durée d'un mois forme le candidat au saut à ouverture automatique de jour comme de nuit et avec l'équipement opérationnel (arme, sac, gaine). On y apprend également la constitution de colis parachutables (mitrailleuse, mortier, radio ...) et certaines activités tactiques à l'atterrissage. A l'issue du stage qui comprend 8 sauts, est remis le brevet A Para dont l'insigne, appelé "wings" consiste en deux ailes bleues encadrant un parachute blanc. L'insigne se porte sur la poitrine au dessus de la poche droite.
L'entraînement para-commando se déroule en Belgique mais aussi à l'étranger.
Avant 1960, les appelés accomplissaient une période de 6 mois d'activités au Congo belge. Le commandant Militis et ses instructeurs y avaient mis au point un exercice de survie dont la réputation déborda du cadre belge. Le Congo permettait, bien entendu, de nombreux autres exercices et sauts en parachute. Après 1960, la Belgique participe à la Force Mobile de l'OTAN avec un bataillon renforcé. Cela permet aux unités de se déployer en Turquie, en Grèce, en Italie, au Danemark et même en Norvège septentrionale. Chaque année, les unités se rendent en Grande-Bretagne au camp d'Otterburn dans les Cheviots hills. Ce camp est particulièrement conçu pour permettre des attaques à feux réels jusqu'au niveau compagnie et des tirs défensifs jusqu'au niveau bataillon. En plus des exercices extrêmement réalistes, le climat et le relief de la région laissent à tous les para-commandos des souvenirs inoubliables. Le programme d'entraînement ne s'arrête toutefois pas là; il comprend également des exercices et des sauts avec les unités d'élite françaises, espagnoles, portugaises, allemandes, hollandaises, britanniques, américaines.
Amitiés Légio More Majorum
Daniel
Re: Les Paras-Commandos Belges
pour nous Belges et Para-Commando le Béret représente un Brevet ,en effet on recois le béret après le camps commando lorsque celui-ci est réussi car la formation est la même pour les Paras et les Commandos la différence de couleur se fait par la suite lorsque le candidats rejoint l'unité pour laquelle il est prévu c-a-d que le futur Para aura un Béret rouge et le futur Commando aura un Béret Vert ,respectant la tradition qui date de la WWII ou les Paras et les Commandos Belges on vu le jour comme d'ailleurs les Commando de Marine Français (Kieffer) on garder le Béret Vert porter comme on dit a l'Anglaise.J'ajoute que le Brevet Commando est une dague blanche dans un triangle noir porter sur la manche gauche a hauteur d'épaule et que le Brévet Para est le parachute ailée porter sur la poitrine au desus de la poche droite , brevets illustrées tout deux dans l'article ,c'est deux brevets sont nommé brevet A ne peuvent le porter que ceux qui servent dans le régiment Para-Commando pour les autres unitées de l'Armée Belge ils peuvent passer ces même Formation mais les brevets sont différant en leurs déssins et sont nommé Brevet B et le brevet Para est représenté par une demi aile porter sur la manche droite et le Brevet Commando B est un triangle vet avec poignard porté sur la manche gauche a hauteur du poignet , dernière petite info ; ceux qui ratent les brevets ne recoivent pas de Bérets rouge ou vert mai un Béret Kaki et sont dénomée PSL , pour service leger barman par exemple
plus tard je reviendrais sur les techniques d'instructions mais attention de mon époque :lol:
Amitiés Légio
Daniel
plus tard je reviendrais sur les techniques d'instructions mais attention de mon époque :lol:
Amitiés Légio
Daniel
Centre Ecole de Schaefen
Le peloton Trg est composé actuellement de 17 despatchers (instructeurs de sauts). Ceux-ci sont en fonction dans différentes cellules. La plus grande partie des moniteurs se trouve à la cellule Ouverture Automatique (OA) et la tâche de ces derniers est de former les différents brevets para le l'armée
Les brevets A pour le personnel para Commando, pour les militaires Béninois.
Les P3, période de recyclage pour les différentes Cies des Bataillons Paras.
Les brevets B pour les élèves de l’ ERM, les unités toutes armes, les paras junior civils.
La cellule DZ (Dropping Zone) fournit l’ODZ (Officier Dropping zone) nécessaire sur les zones de largage. Il faut un responsable de la sécurité sur toutes les zones là où les paras sont déployés en Belgique tout comme à l'extérieur du pays. Ils sont également responsable de l'administration.
La cellule Ouverture Retardée (OR) est responsable de toutes les formations en chute libre à grande altitude et à très grande altitude. Ils organisent et accompagnent les différentes périodes de sauts en Belgique et à l´étranger. Les périodes les plus importantes se passent en Slovénie et au Maroc pour l'exécution de sauts avec oxygène à une altitude 25.000 pieds. Ils organisent aussi plusieurs périodes par an pour l'exécution de sauts à 12.000 pieds, dont 14 jours à Mimizan (Fr).
La cellule 'Cours Despatcher' donne un cours annuel d´instructeur pour une dizaine de candidat. Cette formation est décrite et détailler dans ce magazine.
Le peloton Trg donne aussi le cours Pathfinder, soutient les différentes Unités Para-Commando en effectuant des drops. Il part tous les ans au Bénin pour dropper les paras Béninois, effectue durant les week-end des sauts de démonstration dans le cadre des relations public pour la Défense. Tout ceci mène naturellement à un programme très chargé et exige de tous les membres du peloton une grande disponibilité et flexibilité. Et outre, on doit veiller à ce que le bagage technique du despatcher se perfectionne régulièrement.
La vie de despatcher dans le peloton Trg est difficile à gérer, très diversifiée et exigeante. Ce n'est pas un job'working eight to five'. On sait quand la journée commence mais jamais quand elle se termine car plusieurs aspects influencent le timing (C130, la météo, le ballon, etc.….). Et plus, on porte toujours une grande responsabilité car on assure la sécurité de sauteurs sans perdre de vue notre propre sécurité. L'attention ne peut jamais se relâcher car durant le job, chaque faute peut amener à de lourdes conséquences.
Après avoir réussi un cours de six mois (qui n'est pas à la portée le tout le monde) un nouveau despatcher entre dans un nouveau monde. Un monde avec toutes sortes d nouvelles habitudes et d’expressions comme le Syltec, IES et OES, le dispersal, le n° 1, ODZ, le 'coins', la fiche n° 1, crew, drifter, les sticks, DSU, DAP 1, drift, QNT, brique et broque, l'ami rouge, QFE, flipe et flap, cancelled, le Pierre, le green on, one man on tail, retriever, le chef de cours….
pourquoi tant d'anglisisme Pour une raison très simple typiquement Belge comme vous le savez peut être il y a Trois langues ,le Francais , le Flamand et l'allemand , à l'époque le régiment Para-Commando était composé de volontaires où les Belges pouvait faire leurs service militaite moyénant trois mois supplémentaire et on mélangeais les hommes des trois régions il était plus simple pour les instructeurs de donner les commandements en anglais qui plus est l'origine du Régiment est Anglaise , c'est d'ailleur le principe a la Légion où tout est en Français .
Aujourd'hui il ont en partie résolus leurs problèmes en faisant des Battaillons linguistique ex: le 1er Bilingue mais majorité Flamend le 2è Codo est Francophone le 3è Para-Codo est Flamand ,la Batterie Canon Parachutable est Flamand etc.......mais l'habitude fait que souvant dans les deux CE (centre école ) Para et Codo on emploiye encore l'Anglais pour certain termes techniques
le saut de ballon se faisait de 300 metres pour l'anecdote la technique voulait que l'on compte oralement le temps d'ouverture de la voile de cette mannière : 331 ,332 ,333 et la la voilure devait être ouverte si non c'était ventral mais très très rare car techniquement c'était le plus beau saut que tu pouvait faire puisse que pas de remous où turbulence tu sortait de la nasse droit direction sol dans la meilleurs des posititions mais il faut bien dire que c'est aussi le plus impréssionent parce que c'est tes 6 où 7 premier sauts mais surtout le silence (pas de bruies de moteurs ) léger balencement de la nacelle qui te faisait voir le sol bouger ce ballon était fixer par un cable au camion qui le transportait sur la DZ et le remisait dans son hangar et l'impréssion de vertige était du je crois par ce lien avec la terre qu'était ce cable
Les brevets A pour le personnel para Commando, pour les militaires Béninois.
Les P3, période de recyclage pour les différentes Cies des Bataillons Paras.
Les brevets B pour les élèves de l’ ERM, les unités toutes armes, les paras junior civils.
La cellule DZ (Dropping Zone) fournit l’ODZ (Officier Dropping zone) nécessaire sur les zones de largage. Il faut un responsable de la sécurité sur toutes les zones là où les paras sont déployés en Belgique tout comme à l'extérieur du pays. Ils sont également responsable de l'administration.
La cellule Ouverture Retardée (OR) est responsable de toutes les formations en chute libre à grande altitude et à très grande altitude. Ils organisent et accompagnent les différentes périodes de sauts en Belgique et à l´étranger. Les périodes les plus importantes se passent en Slovénie et au Maroc pour l'exécution de sauts avec oxygène à une altitude 25.000 pieds. Ils organisent aussi plusieurs périodes par an pour l'exécution de sauts à 12.000 pieds, dont 14 jours à Mimizan (Fr).
La cellule 'Cours Despatcher' donne un cours annuel d´instructeur pour une dizaine de candidat. Cette formation est décrite et détailler dans ce magazine.
Le peloton Trg donne aussi le cours Pathfinder, soutient les différentes Unités Para-Commando en effectuant des drops. Il part tous les ans au Bénin pour dropper les paras Béninois, effectue durant les week-end des sauts de démonstration dans le cadre des relations public pour la Défense. Tout ceci mène naturellement à un programme très chargé et exige de tous les membres du peloton une grande disponibilité et flexibilité. Et outre, on doit veiller à ce que le bagage technique du despatcher se perfectionne régulièrement.
La vie de despatcher dans le peloton Trg est difficile à gérer, très diversifiée et exigeante. Ce n'est pas un job'working eight to five'. On sait quand la journée commence mais jamais quand elle se termine car plusieurs aspects influencent le timing (C130, la météo, le ballon, etc.….). Et plus, on porte toujours une grande responsabilité car on assure la sécurité de sauteurs sans perdre de vue notre propre sécurité. L'attention ne peut jamais se relâcher car durant le job, chaque faute peut amener à de lourdes conséquences.
Après avoir réussi un cours de six mois (qui n'est pas à la portée le tout le monde) un nouveau despatcher entre dans un nouveau monde. Un monde avec toutes sortes d nouvelles habitudes et d’expressions comme le Syltec, IES et OES, le dispersal, le n° 1, ODZ, le 'coins', la fiche n° 1, crew, drifter, les sticks, DSU, DAP 1, drift, QNT, brique et broque, l'ami rouge, QFE, flipe et flap, cancelled, le Pierre, le green on, one man on tail, retriever, le chef de cours….
pourquoi tant d'anglisisme Pour une raison très simple typiquement Belge comme vous le savez peut être il y a Trois langues ,le Francais , le Flamand et l'allemand , à l'époque le régiment Para-Commando était composé de volontaires où les Belges pouvait faire leurs service militaite moyénant trois mois supplémentaire et on mélangeais les hommes des trois régions il était plus simple pour les instructeurs de donner les commandements en anglais qui plus est l'origine du Régiment est Anglaise , c'est d'ailleur le principe a la Légion où tout est en Français .
Aujourd'hui il ont en partie résolus leurs problèmes en faisant des Battaillons linguistique ex: le 1er Bilingue mais majorité Flamend le 2è Codo est Francophone le 3è Para-Codo est Flamand ,la Batterie Canon Parachutable est Flamand etc.......mais l'habitude fait que souvant dans les deux CE (centre école ) Para et Codo on emploiye encore l'Anglais pour certain termes techniques
le saut de ballon se faisait de 300 metres pour l'anecdote la technique voulait que l'on compte oralement le temps d'ouverture de la voile de cette mannière : 331 ,332 ,333 et la la voilure devait être ouverte si non c'était ventral mais très très rare car techniquement c'était le plus beau saut que tu pouvait faire puisse que pas de remous où turbulence tu sortait de la nasse droit direction sol dans la meilleurs des posititions mais il faut bien dire que c'est aussi le plus impréssionent parce que c'est tes 6 où 7 premier sauts mais surtout le silence (pas de bruies de moteurs ) léger balencement de la nacelle qui te faisait voir le sol bouger ce ballon était fixer par un cable au camion qui le transportait sur la DZ et le remisait dans son hangar et l'impréssion de vertige était du je crois par ce lien avec la terre qu'était ce cable
Re: Les Paras-Commandos Belges
Les opérations et missions
1959 - 1962 : interventions au Congo et au Rwanda-Urundi.
Actions diverses suite à l'indépendance.
Novembre 1964 : opérations de secours Dragon Rouge et Dragon Noir en République démocratique du Congo .
Sauts opérationnels sur Stanleyville et Paulis.
Sauvetage et sécurisation de plus de 2.375 otages.
1973 - 1974 : missions humanitaires au Niger.
Acheminement de vivres pour les populations touchées par la famine au Sahel.
Mai 1978 : opération de secours Red Bean au Zaïre (ex-Congo Belge, actuellement Rép. Dém. du Congo).
Atterrissage d'assaut sur Kolwezi.
Sauvetage et sécurisation de populations et expatriées occidentaux au Shaba (ex-Katanga).
Février 1979 : mission de coopération militaire Green Apple au Zaïre (ex-Congo Belge, actuellement Rép. Dém. du Congo).
Instruction des Forces Armées Zaïroises à Kitona.
Septembre 1987: mission Octopus dans le Golfe Persique.
Une équipe de tir MILAN à bord d'un navire de la Force Navale belge.
Novembre 1990 : opération de secours Green Beam au Rwanda.
Sauvetage et sécurisation des expatriés.
Mai à juin 1991 : mission d'aide humanitaire Blue Lodge en Irak.
Participation à l'action d’aide internationale Provide Comfort mise sur pied par les Etats-Unis dans le nord de l’Irak
Sept. à nov. 1991 : opération de sécurisation Blue Beam au Zaïre.
Janvier à février 1993 : opération Sunny Winter au Congo-Brazzaville.
Déploiement préventif en cas de sauvetage nécessaire au Zaïre.
1993 : opération Restore Hope et missions ONU UNOSOM II & III en Somalie.
1994 : mission ONU UNAMIR et opération de rapatriement Silver Back au Rwanda.
Avril à juin 1997 : opération Green Stream au Congo-Brazzaville.
Déploiement préventif en cas de sauvetage nécessaire au Zaïre suite aux troubles causés par le changement de régime.
Avril à juin 1999 : missions UFOR, Allied Harbour, BELLSSAGROUP en Albanie.
Sécurisation et escorte des populations exilées du Kosovo.
Nov. 2002 - avril 2003 : mission ONU de maintient de la paix au Kosovo.
2004 : mission de coopération militaire en République démocratique du congo.
Instruction des forces armées au techniques de maintien de la paix.
2005 : mission OTAN ISAF en Afghanistan.
2008 : mission OTAN ISAF 16 en Afghanistan.
1959 - 1962 : interventions au Congo et au Rwanda-Urundi.
Actions diverses suite à l'indépendance.
Novembre 1964 : opérations de secours Dragon Rouge et Dragon Noir en République démocratique du Congo .
Sauts opérationnels sur Stanleyville et Paulis.
Sauvetage et sécurisation de plus de 2.375 otages.
1973 - 1974 : missions humanitaires au Niger.
Acheminement de vivres pour les populations touchées par la famine au Sahel.
Mai 1978 : opération de secours Red Bean au Zaïre (ex-Congo Belge, actuellement Rép. Dém. du Congo).
Atterrissage d'assaut sur Kolwezi.
Sauvetage et sécurisation de populations et expatriées occidentaux au Shaba (ex-Katanga).
Février 1979 : mission de coopération militaire Green Apple au Zaïre (ex-Congo Belge, actuellement Rép. Dém. du Congo).
Instruction des Forces Armées Zaïroises à Kitona.
Septembre 1987: mission Octopus dans le Golfe Persique.
Une équipe de tir MILAN à bord d'un navire de la Force Navale belge.
Novembre 1990 : opération de secours Green Beam au Rwanda.
Sauvetage et sécurisation des expatriés.
Mai à juin 1991 : mission d'aide humanitaire Blue Lodge en Irak.
Participation à l'action d’aide internationale Provide Comfort mise sur pied par les Etats-Unis dans le nord de l’Irak
Sept. à nov. 1991 : opération de sécurisation Blue Beam au Zaïre.
Janvier à février 1993 : opération Sunny Winter au Congo-Brazzaville.
Déploiement préventif en cas de sauvetage nécessaire au Zaïre.
1993 : opération Restore Hope et missions ONU UNOSOM II & III en Somalie.
1994 : mission ONU UNAMIR et opération de rapatriement Silver Back au Rwanda.
Avril à juin 1997 : opération Green Stream au Congo-Brazzaville.
Déploiement préventif en cas de sauvetage nécessaire au Zaïre suite aux troubles causés par le changement de régime.
Avril à juin 1999 : missions UFOR, Allied Harbour, BELLSSAGROUP en Albanie.
Sécurisation et escorte des populations exilées du Kosovo.
Nov. 2002 - avril 2003 : mission ONU de maintient de la paix au Kosovo.
2004 : mission de coopération militaire en République démocratique du congo.
Instruction des forces armées au techniques de maintien de la paix.
2005 : mission OTAN ISAF en Afghanistan.
2008 : mission OTAN ISAF 16 en Afghanistan.
Re: Les Paras-Commandos Belges
oui des bon
ont ce fou toujours d eux ; mais ils font leur preuve respect
ont ce fou toujours d eux ; mais ils font leur preuve respect
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
Admin a écrit:merci jacques et le troisième film je ne reconnais pas la DZ ????
c'est Toi le Belge là tu m'en demande trop
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
JAMES a écrit:comme dab je voir rien
pas juste
mon pauvre petit c'est vraiment injuste
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
JAMES a écrit:comme dab je voir rien
pas juste
Voila rien que pour toi James...
Ici le clic
Ici le clic
Ici le clic
@micalement
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
Admin a écrit:merci jacques et le troisième film je ne reconnais pas la DZ ????
C'est WATERLOO !!!!!!!
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
commandoair40 a écrit:Admin a écrit:merci jacques et le troisième film je ne reconnais pas la DZ ????
C'est WATERLOO !!!!!!!
tu en sait quelque chose tu la vue avec moi en long et en large
Re: Les Paras-Commandos Belges
Eric a écrit:JAMES a écrit:comme dab je voir rien
pas juste
Voila rien que pour toi James...
Ici le clic
Ici le clic
Ici le clic
@micalement
Merci Eric pour Manu cela s'appel de l'entraide Légionnaire
Re: Les Paras-Commandos Belges
Admin a écrit:Eric a écrit:JAMES a écrit:comme dab je voir rien
pas juste
Voila rien que pour toi James...
Ici le clic
Ici le clic
Ici le clic
@micalement
Merci Eric pour Manu cela s'appel de l'entraide Légionnaire
tu veux dire pour James
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
c'est vrais que c'est pour James que veut tu c'est un Parisien comme un Corse que je connais
Re: Les Paras-Commandos Belges
Au moment de l’incorporation dans une unité Para-Commando les miliciens (terme utilisé en Belgique pour les appelés ou conscrits) ou les volontaires de carrière recevaient un béret kaki.
Après quatre mois de service dans l’unité para-commando, les fameux tests pour gagnez le béret ont lieu en une journée, du moins de mon temps.
Tous les tests se font en arme avec le petit sac, (par rapport au bergame qui faisant 25kg) qui comprend : la toile de tente, la gamelle avec ration et la gourde remplie d’eau.
Piste d’obstacle aérienne (piste de cordes).
Piste d’obstacles.
Courir 200m en portant un camarade du même poids.
Nager 50m en tenant le fusil hors de l’eau.
Une speed marche de 16 km à faire en moins d’une heure quarante, temps idéal entre 1h20 et 1h30.
A l’arrivée de la speed marche, tire de 5 cartouches sur une cible à 100m et pour les candidats gradés jet de 5 grenade à 25 ou 30 m (je ne me rappelle plus bien la distance)
Et pour finir le melling (là en short de sport avec gants de boxe et protège dent et coquille protège c…) : combat de 3 minute. contre celui que vous avez porté sur 200m. Au cours de ce combat, vous pouvez juste frapper, mais interdiction de parer ou d’esquiver les coups, vous êtes coter sur la combativité. Et je vous jure 3 minutes c’est très long.
Et puis attende de 2 jours pour connaitre les résultats. Un bon tiers des candidats, qui ont tenus les 4 mois, sont éliminés.
Enfin le grand jour, tenue impeccable, tous ceux qui ont réussis sont rassemblé pour la cérémonie de remise du béret.
Au commandement on enlève son béret kaki en le jetant en l’air et puis à l’appel de votre nom on se présente devant une personnalité qui vous remet votre béret rouge ou vert et vous le coiffer puis saluer et regagner le rang.
Après quatre mois de service dans l’unité para-commando, les fameux tests pour gagnez le béret ont lieu en une journée, du moins de mon temps.
Tous les tests se font en arme avec le petit sac, (par rapport au bergame qui faisant 25kg) qui comprend : la toile de tente, la gamelle avec ration et la gourde remplie d’eau.
Piste d’obstacle aérienne (piste de cordes).
Piste d’obstacles.
Courir 200m en portant un camarade du même poids.
Nager 50m en tenant le fusil hors de l’eau.
Une speed marche de 16 km à faire en moins d’une heure quarante, temps idéal entre 1h20 et 1h30.
A l’arrivée de la speed marche, tire de 5 cartouches sur une cible à 100m et pour les candidats gradés jet de 5 grenade à 25 ou 30 m (je ne me rappelle plus bien la distance)
Et pour finir le melling (là en short de sport avec gants de boxe et protège dent et coquille protège c…) : combat de 3 minute. contre celui que vous avez porté sur 200m. Au cours de ce combat, vous pouvez juste frapper, mais interdiction de parer ou d’esquiver les coups, vous êtes coter sur la combativité. Et je vous jure 3 minutes c’est très long.
Et puis attende de 2 jours pour connaitre les résultats. Un bon tiers des candidats, qui ont tenus les 4 mois, sont éliminés.
Enfin le grand jour, tenue impeccable, tous ceux qui ont réussis sont rassemblé pour la cérémonie de remise du béret.
Au commandement on enlève son béret kaki en le jetant en l’air et puis à l’appel de votre nom on se présente devant une personnalité qui vous remet votre béret rouge ou vert et vous le coiffer puis saluer et regagner le rang.
Re: Les Paras-Commandos Belges
MERCI
OUI LE BERET ROUGES DUR POUR L AVOIR
EN FRANCE MOINS DUR ENFIN PAS PAREIL
OUI LE BERET ROUGES DUR POUR L AVOIR
EN FRANCE MOINS DUR ENFIN PAS PAREIL
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
merci Daniel faut avoir une sacré "frite"
pour réussir cela a l'air trés dur
pour réussir cela a l'air trés dur
olivier- Admin
- Localisation : 34
Messages : 3867
Date d'inscription : 10/11/2009
Age : 58
Re: Les Paras-Commandos Belges
olivier a écrit:merci Daniel faut avoir une sacré "frite"
pour réussir cela a l'air trés dur
Dur oui et non mais surtout il faut de la volontée , de la niak en vouloir et tout devient possible
Re: Les Paras-Commandos Belges
omme dans la vie de tout les joursAdmin a écrit:olivier a écrit:merci Daniel faut avoir une sacré "frite"
pour réussir cela a l'air trés dur
Dur oui et non mais surtout il faut de la volontée , de la niak en vouloir et tout devient possible
olivier- Admin
- Localisation : 34
Messages : 3867
Date d'inscription : 10/11/2009
Age : 58
Re: Les Paras-Commandos Belges
Petite Question :
Les Paras Belge ont juste le brevet tissu et pas de brevet Acier comme les Francais ???
Les Paras Belge ont juste le brevet tissu et pas de brevet Acier comme les Francais ???
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
[img][/img]oui James ce que tu nous montre c'est le 2è Commandos béret vert titre d'épaules brevet para non homologué parceque en noir il est normalement en kaki et ensuite le brevet commando
entre les deux brevets commando c'est l'insigne régimentaire de béret et a droite entre le titre d'épaule et le brevet commando il y a la médaille brevet Para a mettre a une chaine de cou
maintenant si vous regarder depuis la première page vous avez la réponse avec plusieurs photos perso
1er Bataillon Para de Diest
2è Bataillon Commando de Flawinne
3è Bataillon Para-Commando de Tielen
entre les deux brevets commando c'est l'insigne régimentaire de béret et a droite entre le titre d'épaule et le brevet commando il y a la médaille brevet Para a mettre a une chaine de cou
maintenant si vous regarder depuis la première page vous avez la réponse avec plusieurs photos perso
1er Bataillon Para de Diest
2è Bataillon Commando de Flawinne
3è Bataillon Para-Commando de Tielen
Re: Les Paras-Commandos Belges
OUI NESTY REGARDE AVANT DE POSER DES QUESTION ET MOI AUSSI
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
Merci a tous !!!!!
A ma grande honte , je ne connaissais pas tout ça !!!!!
A ma grande honte , je ne connaissais pas tout ça !!!!!
Invité- Invité
Re: Les Paras-Commandos Belges
MERCI des Infos , Daniel
Je croyais juste celui en tissu
avec les ailes
je savais pas toutes ces differences
Je croyais juste celui en tissu
avec les ailes
je savais pas toutes ces differences
Invité- Invité
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