Kolwezi vu par les Belges
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Kolwezi vu par les Belges
Bonjours a tous je vais éssayer de commenter du coté Belge l'Opération de sauvetages des Otages de Kolwézi ,l'Opération du Nom de "Red Bean"
Atterrissage d'assaut sur Kolwezi. Sauvetage et sécurisation de populations et expatriées occidentaux au Shaba (ex-Katanga).
le sujet ayant été largement commenté du Coté de la Légio Etrangère , mais résumons quand même le début de l'Opération appelé du coté Français "Bonite" où encore "Léopard" pour vous en rappelé les faits .
Le 19 mai à 14 h 30, une première vague de la force d'intervention française, composée de 405 hommes (le PC et trois compagnies), saute à 250 mètres d'altitude sur l'ancien hippodrome. Six hommes sont blessés par des tirs d’armes légères dès le largage, un autre, atterrissant loin de son unité, est tué et mutilé en pleine rue, sans avoir pu se défaire de son parachute.
Immédiatement, de violents combats de rue commencent, permettant de délivrer des Européens retenus en otage ou qui avaient pu se cacher. Une colonne rebelle, avec une AML, est stoppée vers 15 heures à hauteur de la gare par un tir de lance-roquettes. Par des actions débordantes rapides, tous les groupes rebelles sont éliminés.
La ville est sous contrôle de la Légion dès la tombée de la nuit à 18 heures. Les unités s’installent aux carrefours. Pendant la nuit, les rebelles contre-attaquent en s’infiltrant dans le tissu urbain mais sont stoppés par des embuscades de la Légion.
Dans la nuit du 19 au 20, de nouveaux combats ont lieu. Ce n’est qu’en fin de nuit, à 6 h 30, qu’une deuxième vague de 250 parachutistes de la légion est larguée (4e compagnie et section d'éclairage et de reconnaissance), alors qu’elle était initialement prévue pour la nuit du 19 au 20. Sautant à l’est de la ville, elle prend les rebelles à revers et occupe cette partie de la ville dans la matinée. Ses hommes découvriront les massacres du quartier P2.
Le 20 mai.
A Bruxelles, dans les milieux politiques, on se tâte. Le 17 mai, Vanden Boeynants, donne l’ordre à l’EMG belge de mettre un EM de Planning en place et de prévoir une évacuation de sauvetage avec appui médical
Ne disposant d’aucune information précise sur la situation des ressortissants belges, personne n’ose encore évoquer une intervention militaire dans le style de 1964. A Paris par contre, il semble qu’on ait déjà une vue plus circonstanciée des événements du week-end. La radio d’Afrique du Sud continuait à cracher des informations qui étaient tout à fait contradictoires d'une heure à l'autre.
Le 18 mai, une opération de sauvetage commune Franco/Belge est envisagée à Kinshasa, elle aurait lieu le 20, Mais finalement, à Bruxelles, on refuse une opération commune Franco / Belge, sous prétexte que les buts sont totalement différents; les Français veulent une opération militaire pour détruire les rebelles, protéger les expatriés mais les encourager à rester et soutenir Mobutu, les Belges veulent faire une opération d’évacuation assistée médicalement.
A partir de ce moment, le divorce est consommé. La radio annonce à un certain moment que 1100 Paras belges sont à Kamina prêts à intervenir. Cette nouvelle, incongrue, va augmenter le danger encouru par les otages et va pousser les Français à avancer leur opération au 19.
Au cours de la nuit, le ministre belge de la défense nationale est averti par des pilotes belges, en manœuvre en Corse, que les légionnaires viennent d'embarquer à bord d'avions d' Air France et d' UTA.
Les avions militaires Belges ne peuvent traverser l’espace aérien algérien et doivent faire un énorme détour. Le voyage qui dure normalement moins de huit heures sera de 23 heures pour les C-130. Ils débarqueront des paras morts de fatigue .
Tous les Paras furent transportés par 10 Boeing ( huit de la Sabena), le matériel dont le charroi organique et une antenne médicale étant acheminés par 7 C130, trois autres devant rejoindre plus tard venant du Mali..
Le Regt à Kamina disposait ainsi de 1180 hommes, 18 jeeps radio, 10 jeeps blindées, 26 AS 24s et une équipe chirurgicale.
Il était capable de contrôler toute la ville et l’aéroport. Avec ses 8 C 130, il pouvait en une seule vague transporter 600 hommes.
Cette mise en place permettait au Regt Para Cdo de disposer de troupes reposées, de tout son charroi organique (pour aller rechercher des otages à l’extérieur) et d’une antenne médicale; on avait tiré les leçons de Stanleyville, il fallait au plus vite pouvoir se déplacer et prendre en charge les réfugiés. L’opération était beaucoup mieux conçue que celle du 2REP, qui était assez risquée et qui dut utiliser des véhicules civils réquisitionnés en attendant son charroi organique qui arriva après trois jours.
Pour encore gagner du temps, et bien que l’aérodrome était tenu par Mahele, le Col BEM Depoorter, Comd du Regt, décida de faire un atterrissage d’assaut, les éléments directement regroupés pouvaient ainsi progresser immédiatement. Cette technique était bien au point.
Le largage se fit le 20 au matin, en deux vagues, à la première avec 8 C 130, 600 hommes étaient au sol et progressaient immédiatement, l’antenne médicale était déployée.
Kamina n’étant pas loin, la deuxième vague suivit avec tout le matériel organique.
Lorsque le 2è REP arriva sur le terrain le 20 au matin, avec sa deuxième vague, ce fut pour constater que les unités belges étaient déjà au nord de Kolwezi
Jugeant la chose dangereuse, il discuta avec Depoorter et essaya de le convaincre de stopper l’opération belge, demande évidemment refusée. Les deux missions étant totalement différentes, rien ne s’opposait à leur poursuite simultanée.
Après arrangement, les missions furent réparties, le Regt Para recevant la nouvelle et la vieille ville, le 2 REP recevant la gare et Manika.
Les parachutistes belges atterrissent sur l'aérodrome de la plaine à 5 km de Kolwezi, vers 6 h 30 du matin, font la route à pied vers Kolwezi et ripostent à des tirs effectués par méprise par la Légion étrangère, cet incident n'ayant pas fait de victimes ( Version contesté). La Légion laisse ensuite entrer les paras belges dans Kolwezi. Ces derniers ont pour ordre de ne rester que 72 heures. Ils évacuent vers l'aérodrome les ressortissants belges et européens, à l'exclusion des ressortissants africains. Ils laissent aux Français la tâche entière des combats de ratissage. Les troupes belges resteront finalement plus d'un mois au Katanga pour ravitailler en nourriture la population de la région de Kolwezi et assurer, en collaboration avec les troupes marocaines, le maintien de l'ordre.À midi, les premiers otages sont évacués par le terrain d’aviation
Les paras belges arrivés à Kamina depuis la veille entrent enfin en action. Sans coordination effective avec les légionnaires du régiment étranger des parachutistes, ils entament l’évacuation des étrangers vers Kamina en C-130. Le rapatriement durera toute la journée. Le plus impressionnant fut l'attente des réfugiés à l'aéroport de Kolwezi. Certains avaient le regard vide, d'autres riaient, en costume ou en sous-vêtements, les gens avaient du mal à réaliser la chance de pouvoir s'installer dans un avion.
Vers 13 heures, une station annonce que les premiers réfugiés ont été embarqués à Kamina et qu’ils sont attendus à Bruxelles vers 16 heures. Finalement le 747 décollera à 5h20 et se posera le lendemain matin à Bruxelles.
Les autres avions suivirent et le dernier des huit arriva le lundi après-midi.
Les unités du Régiment Para Cdo belge vont se déployer dans les principales villes du Shaba ( Kamina, Lubumbashi, Fungurume, Likasi, Kambove, Kipushi ) pour assurer la sécurité de tous les expatriés.
On attendait beaucoup de débats parlementaires, qui-tout le monde l’espérait, allaient enfin éclairer la position du gouvernement belge, tant à l’égard de la France que du Zaïre et expliquer les raisons de la lenteur de l’action entreprise.
Le Régiment Para Cdo belge rentrera définitivement en Belgique entre le 20 et le 28 juin, sa mission de sécurité étant terminée.
On a beaucoup épilogué sur le retard de l’arrivée des Para belges à Kolwezi. De nombreuses tergiversations politiques et les refus d’autorisation de survol en sont à la base. Le Regt Para Cdo n’avait rien à se reprocher, que du contraire. Son expérience de Stanleyville lui permit un déploiement ultra rapide, récupérant le temps perdu par les hésitations des politiques.
et voici un lien vers un site qui narre cette opération avec photos notamment
http://www.kolwezi-1978.adr.ms/red_bean_fr.html
Toutes les unités qui ont participé à « Red Bean » sont citées à l’ordre de l’Armée (T) AO-156 du 20 octobre 1978 pour,
« Du 19 mai au 10 juillet 1978 avoir fait preuve d’un sang-froid remarquable, de discipline et d’efficacité dans l’exécution dune mission de libération et protection des Belges et des étrangers dont la vie au Shaba et plus particulièrement à Kolwezi était mise en danger »
- Mai 1978 : opération de secours Red Bean au Zaïre (ex-Congo Belge, actuellement Rép. Dém. du Congo).
Atterrissage d'assaut sur Kolwezi. Sauvetage et sécurisation de populations et expatriées occidentaux au Shaba (ex-Katanga).
le sujet ayant été largement commenté du Coté de la Légio Etrangère , mais résumons quand même le début de l'Opération appelé du coté Français "Bonite" où encore "Léopard" pour vous en rappelé les faits .
Le 19 mai à 14 h 30, une première vague de la force d'intervention française, composée de 405 hommes (le PC et trois compagnies), saute à 250 mètres d'altitude sur l'ancien hippodrome. Six hommes sont blessés par des tirs d’armes légères dès le largage, un autre, atterrissant loin de son unité, est tué et mutilé en pleine rue, sans avoir pu se défaire de son parachute.
Immédiatement, de violents combats de rue commencent, permettant de délivrer des Européens retenus en otage ou qui avaient pu se cacher. Une colonne rebelle, avec une AML, est stoppée vers 15 heures à hauteur de la gare par un tir de lance-roquettes. Par des actions débordantes rapides, tous les groupes rebelles sont éliminés.
La ville est sous contrôle de la Légion dès la tombée de la nuit à 18 heures. Les unités s’installent aux carrefours. Pendant la nuit, les rebelles contre-attaquent en s’infiltrant dans le tissu urbain mais sont stoppés par des embuscades de la Légion.
Dans la nuit du 19 au 20, de nouveaux combats ont lieu. Ce n’est qu’en fin de nuit, à 6 h 30, qu’une deuxième vague de 250 parachutistes de la légion est larguée (4e compagnie et section d'éclairage et de reconnaissance), alors qu’elle était initialement prévue pour la nuit du 19 au 20. Sautant à l’est de la ville, elle prend les rebelles à revers et occupe cette partie de la ville dans la matinée. Ses hommes découvriront les massacres du quartier P2.
Le 20 mai.
A Bruxelles, dans les milieux politiques, on se tâte. Le 17 mai, Vanden Boeynants, donne l’ordre à l’EMG belge de mettre un EM de Planning en place et de prévoir une évacuation de sauvetage avec appui médical
Ne disposant d’aucune information précise sur la situation des ressortissants belges, personne n’ose encore évoquer une intervention militaire dans le style de 1964. A Paris par contre, il semble qu’on ait déjà une vue plus circonstanciée des événements du week-end. La radio d’Afrique du Sud continuait à cracher des informations qui étaient tout à fait contradictoires d'une heure à l'autre.
Le 18 mai, une opération de sauvetage commune Franco/Belge est envisagée à Kinshasa, elle aurait lieu le 20, Mais finalement, à Bruxelles, on refuse une opération commune Franco / Belge, sous prétexte que les buts sont totalement différents; les Français veulent une opération militaire pour détruire les rebelles, protéger les expatriés mais les encourager à rester et soutenir Mobutu, les Belges veulent faire une opération d’évacuation assistée médicalement.
A partir de ce moment, le divorce est consommé. La radio annonce à un certain moment que 1100 Paras belges sont à Kamina prêts à intervenir. Cette nouvelle, incongrue, va augmenter le danger encouru par les otages et va pousser les Français à avancer leur opération au 19.
Au cours de la nuit, le ministre belge de la défense nationale est averti par des pilotes belges, en manœuvre en Corse, que les légionnaires viennent d'embarquer à bord d'avions d' Air France et d' UTA.
Les avions militaires Belges ne peuvent traverser l’espace aérien algérien et doivent faire un énorme détour. Le voyage qui dure normalement moins de huit heures sera de 23 heures pour les C-130. Ils débarqueront des paras morts de fatigue .
Tous les Paras furent transportés par 10 Boeing ( huit de la Sabena), le matériel dont le charroi organique et une antenne médicale étant acheminés par 7 C130, trois autres devant rejoindre plus tard venant du Mali..
Le Regt à Kamina disposait ainsi de 1180 hommes, 18 jeeps radio, 10 jeeps blindées, 26 AS 24s et une équipe chirurgicale.
Il était capable de contrôler toute la ville et l’aéroport. Avec ses 8 C 130, il pouvait en une seule vague transporter 600 hommes.
Cette mise en place permettait au Regt Para Cdo de disposer de troupes reposées, de tout son charroi organique (pour aller rechercher des otages à l’extérieur) et d’une antenne médicale; on avait tiré les leçons de Stanleyville, il fallait au plus vite pouvoir se déplacer et prendre en charge les réfugiés. L’opération était beaucoup mieux conçue que celle du 2REP, qui était assez risquée et qui dut utiliser des véhicules civils réquisitionnés en attendant son charroi organique qui arriva après trois jours.
Pour encore gagner du temps, et bien que l’aérodrome était tenu par Mahele, le Col BEM Depoorter, Comd du Regt, décida de faire un atterrissage d’assaut, les éléments directement regroupés pouvaient ainsi progresser immédiatement. Cette technique était bien au point.
Le largage se fit le 20 au matin, en deux vagues, à la première avec 8 C 130, 600 hommes étaient au sol et progressaient immédiatement, l’antenne médicale était déployée.
Kamina n’étant pas loin, la deuxième vague suivit avec tout le matériel organique.
Lorsque le 2è REP arriva sur le terrain le 20 au matin, avec sa deuxième vague, ce fut pour constater que les unités belges étaient déjà au nord de Kolwezi
Jugeant la chose dangereuse, il discuta avec Depoorter et essaya de le convaincre de stopper l’opération belge, demande évidemment refusée. Les deux missions étant totalement différentes, rien ne s’opposait à leur poursuite simultanée.
Après arrangement, les missions furent réparties, le Regt Para recevant la nouvelle et la vieille ville, le 2 REP recevant la gare et Manika.
Les parachutistes belges atterrissent sur l'aérodrome de la plaine à 5 km de Kolwezi, vers 6 h 30 du matin, font la route à pied vers Kolwezi et ripostent à des tirs effectués par méprise par la Légion étrangère, cet incident n'ayant pas fait de victimes ( Version contesté). La Légion laisse ensuite entrer les paras belges dans Kolwezi. Ces derniers ont pour ordre de ne rester que 72 heures. Ils évacuent vers l'aérodrome les ressortissants belges et européens, à l'exclusion des ressortissants africains. Ils laissent aux Français la tâche entière des combats de ratissage. Les troupes belges resteront finalement plus d'un mois au Katanga pour ravitailler en nourriture la population de la région de Kolwezi et assurer, en collaboration avec les troupes marocaines, le maintien de l'ordre.À midi, les premiers otages sont évacués par le terrain d’aviation
Les paras belges arrivés à Kamina depuis la veille entrent enfin en action. Sans coordination effective avec les légionnaires du régiment étranger des parachutistes, ils entament l’évacuation des étrangers vers Kamina en C-130. Le rapatriement durera toute la journée. Le plus impressionnant fut l'attente des réfugiés à l'aéroport de Kolwezi. Certains avaient le regard vide, d'autres riaient, en costume ou en sous-vêtements, les gens avaient du mal à réaliser la chance de pouvoir s'installer dans un avion.
Vers 13 heures, une station annonce que les premiers réfugiés ont été embarqués à Kamina et qu’ils sont attendus à Bruxelles vers 16 heures. Finalement le 747 décollera à 5h20 et se posera le lendemain matin à Bruxelles.
Les autres avions suivirent et le dernier des huit arriva le lundi après-midi.
Les unités du Régiment Para Cdo belge vont se déployer dans les principales villes du Shaba ( Kamina, Lubumbashi, Fungurume, Likasi, Kambove, Kipushi ) pour assurer la sécurité de tous les expatriés.
On attendait beaucoup de débats parlementaires, qui-tout le monde l’espérait, allaient enfin éclairer la position du gouvernement belge, tant à l’égard de la France que du Zaïre et expliquer les raisons de la lenteur de l’action entreprise.
Le Régiment Para Cdo belge rentrera définitivement en Belgique entre le 20 et le 28 juin, sa mission de sécurité étant terminée.
On a beaucoup épilogué sur le retard de l’arrivée des Para belges à Kolwezi. De nombreuses tergiversations politiques et les refus d’autorisation de survol en sont à la base. Le Regt Para Cdo n’avait rien à se reprocher, que du contraire. Son expérience de Stanleyville lui permit un déploiement ultra rapide, récupérant le temps perdu par les hésitations des politiques.
et voici un lien vers un site qui narre cette opération avec photos notamment
http://www.kolwezi-1978.adr.ms/red_bean_fr.html
Toutes les unités qui ont participé à « Red Bean » sont citées à l’ordre de l’Armée (T) AO-156 du 20 octobre 1978 pour,
« Du 19 mai au 10 juillet 1978 avoir fait preuve d’un sang-froid remarquable, de discipline et d’efficacité dans l’exécution dune mission de libération et protection des Belges et des étrangers dont la vie au Shaba et plus particulièrement à Kolwezi était mise en danger »
Ordre de bataille
ETAT-MAJOR :
1er PELOTON :
2ème PELOTON :
3ème PELOTON :
Comd Cie | Capt MARCHAL, Luc | O63900 |
Chauffeur 13J1 | Sdt CARPENTIER, Marc (18/05 - 27/05) | R/24393 |
2IC | 1Lt TIMSONET, Maurice | O10823 |
CSM | 1SM WAEGHENAERE, Guy | S/76215 |
TR | 1SM DEWEGHE, Willem | S/75473 |
CQMS | 1SM DEMOULIN, Daniel (décédé) | S/74863 |
Cpl CLEPKENS, Corneille | R/21751 | |
Armurier | Cpl SCHILS, Georges (décédé) | R/21753 |
Mécanicien | Cpl FROMENT, Jean-Marie | S/98054 |
Cuisinier | Cpl CORDIER, Léon | S/83624 |
Chauffeurs | Cpl AUQUIER, Alain | S/89631 |
Sdt GILLOT, Alain | R/21450 | |
Renfort du Pl TS | Sdt MARIEN, Christian | R/21745 |
Détachés au Pl Mor | Sdt COJA, Christian | R/21446 |
Sdt DUPONT, Michel | R/21648 | |
Kpl JACOBS, Frans | S/86596 | |
Sdt NINANE, Eric | R/27311 | |
Sdt CARTON, Christian | R/21242 |
Chef de Pl | Adjt HOESSELS, Patrick | R/28547 |
Adjoint | Sgt DE RILA, Michel | R/19078 |
Chefs de Sections : | ||
1ere Section | Sgt MARIQUE, Jean-Luc | R/18277 |
2ème Section | Sgt SOR THONUS, Eric | 77/09696 |
3ème Section | Sgt SOR MICHOTTE, Jacques | 77/43892 |
Section EM : | ||
Chef de Peloton | Adjt HOESSELS, Patrick | R/28547 |
Adjoint de Peloton | Sgt DE RILA, Michel | R/19078 |
TS Peloton | Sdt PIRMEZ, Jacques | 77/43892 |
Section 1 : | ||
Chef de Section | Sgt MARIQUE, Jean-Luc | R/18277 |
Tireur MAG | Sdt VERMEULEN, Jean | R/28961 |
Chauffeur | Sdt MARCQ, Patrick | R/29121 |
Tireur Law | SM TILMANT, Daniel | 77/33958 |
Pourvoyeur MAG | SM DETIENNES, Yves | 77/45450 |
Sdt HUPEZ, Bernard | R/30341 | |
Chef Equipe MAG | SM JORDENS, Daniel | 77/31004 |
Tireur Law | SM PAULUS, Pierre | 77/48555 |
Tireur Law | SM NIESSEN, Jean-Claude (inapte) | 77/48569 |
Chauffeur | SM SPILLIER Jean-Marie | 77/39169 |
Section 2 : | ||
Chef de Section | Sgt SOR THONUS, Eric | 77/09696 |
Tireur d'élite | SM de TURCK, Geoffroy | 77/43853 |
Sdt DUVIVIER, Alain | R/21238 | |
Eclaireur | Sdt ENCEV, Joel | R/28965 |
Tireur d'élite | Sdt LIBON, Philippe | R/31812 |
Sdt MERTENS, Johnny | R/31357 | |
Equipe MAG | SM PEDUZY, Didier | 77/31121 |
SM PREMONT, Jean-Marie | 77/26576 | |
SM SIMON, Jean-Marie | 77/08571 | |
Section 3 : | ||
Chef de Section | Sgt SOR MICHOTTE, Jacques | 77/43892 |
Tireur Law | SM ABRASSART, Adolphe | 77/02594 |
Chef Equipe MAG | SM BALON, Dominique | 77/34030 |
Eclaireur | Sdt DOOMS, Dominique | R/30345 |
Equipe Law | Sdt FORET, Eric | R/28964 |
Tireur MAG | SM MOURA, Michel | 77/45484 |
Sdt PLUTA, Dominique | R/29126 | |
Chauffeur | SM SLACHMUYLDERS, Francis | 77/26153 |
Tireur MAG | SM VANDENDRIESSCHE, Michel | 77/44980 |
Chef de Pl | Slt EVERARTS DE VELP, François | O17475 |
Adjt COR DEMUYNCK, Michel | 77/39350 | |
Adjoint | Sgt JACOB, Philippe | S/89616 |
Chefs de Sections | Sgt SOR BOUVIER, Yves | 77/44516 |
Sgt SOR VAN LOMBEEK, Patrick | 77/02817 | |
Sgt SOR LAMBERT, Thierry | 77/16188 | |
Section 1 : | ||
Chef de Section | Sgt SOR VAN LOMBEECK, Patrick | 77/44516 |
SM SEGERS, Philippe | 77/21260 | |
SM THIBAUT, Guy | 77/39218 | |
SM THIRION, Michel | 77/46167 | |
SM VAN DEN ABEELE, Yves | 77/38770 | |
SM VANDERLINDEN, Freddy | 77/33821 | |
SM van PRAET d'AMERLOO, Marc | 77/18276 | |
Cpl VERMOTE, Daniel | 77/40630 | |
Sdt VIATOUR, Dominique | R/29120 | |
SM WAREGNE, André | 77/33642 | |
Section 2 : | ||
Chef de Section | Sgt SOR BOUVIER, Yves | 77/02817 |
Cpl DIRICKX, Patrick | 77/38798 | |
SM DUQUESNOY, Jean-Pierre | 77/33646 | |
Sdt GERST, Alain | R/30984 | |
SM GOBERT, Joël | 77/44577 | |
SM JACOBS, Franz | 77/31288 | |
SM LAGNEAUX, Eric | 77/36711 | |
Sdt LAURENT, Jean-Baptiste | R/29825 | |
SM LECHIEN, Alain | 77/33657 | |
Sdt LETORT, Philippe (décédé) | R/30983 | |
Sdt LIEGEOIS, Pascal | R/29122 | |
SM SMEESTERS, Johnny | 77/29925 | |
Section 3 : | ||
Chef de Section | Sgt SOR LAMBERT, Thierry | 77/16188 |
SM BENDEL, René | 77/33237 | |
SM CABY, William | 77/40695 | |
SM DELPATURE, Georges | 77/43855 | |
SM DETAYE, Yves | 77/36530 | |
SM DOUMONT, Léopold | 77/34036 | |
SM FONTIER, Patrick | 77/36531 | |
SM PODJELSKI, Michel | 77/33643 | |
Sdt WILLAERT, Didier | R/29123 |
Chef de Peloton | Slt LORENT, Philippe | O17473 |
Adjoint | Sgt MOSTERT, Claude | S/88528 |
Chefs de Sections | 1ère Section : Sgt SAUVEUR, Jean-Marie | R/21498 |
2ème Section : Sgt SOR BAILLEUX, Guy | 77/44045 | |
Section EM : | ||
Chef de Peloton | Slt LORENT, Philippe | O17473 |
Adjoint | Sgt MOSTERT, Claude | S/88528 |
TS | Sdt DEWIT, François | R/28074 |
F1 | Sdt RUZZU, Giovanni | R/24913 |
F2, (Tireur MAG). | Sdt BOLHAAR, Yvan | R/28344 |
F3, (Pourvoyeur MAG). | Sdt CHOQUET, Thierry | R/27719 |
F4 | Sdt NATALIS, René (décédé) | R/28010 |
F5 | Sdt VOLONT, Léon | R/28237 |
F6 | Sdt CHAPELLE, Bernard | R/28346 |
F7 | Sdt MARCHANT, Richard | R/27489 |
F8 | Sdt THEVENIN, Marc | R/28081 |
Section 1 : | ||
Chef de Section | Sgt SAUVEUR, Jean-Marie | R/21498 |
F1 | Sdt RAMAKERS, Christian | R/28076 |
F2, (Tireur MAG). | Sdt MALFROID, Philippe | R/28075 |
F3, (Pourvoyeur MAG). | Sdt PETEUX, Eric | R/28079 |
F4 | Sdt COMBLE, P. | R/28655 |
F5 | Sdt FRIPPIAT, G. | R/28078 |
F6 | Sdt DUFLOS, Claudy | R/27621 |
F7 | Sdt WARDEGA, Alain | R/28531 |
F8 | Sdt MACAUX, Luc | R/28354 |
Surplus | Sdt ZAGRODNIK, Edmond | R/28357 |
Surplus | Sdt GANY, Dominique | R/28350 |
Section 2 : | ||
Chef de Section | Sgt SOR BAILLEUX, Guy | 77/44045 |
F1, (Tireur MAG 2). | Sdt ROEMANS, Stéphane | R/27725 |
F2, (Tireur MAG 1). | Sdt RELEKOM, Francis | R/27724 |
F3, (Pourvoyeur MAG). | Sdt CASTELLUCIO, Toni | R/28345 |
F4 | Sdt DEWAELE, Daniel | R/27730 |
F5 | Sdt HAVAUX, Jean-Pol | R/28351 |
F6 | Sdt DAVID, Jean-Marie | R/27720 |
F7 | Sdt DECLERCQ, René | R/28073 |
F8 | Sdt RENS, Rudolf | R/28529 |
Surplus | Sdt RORIVE, Patrick | R/24763 |
Surplus | Sdt DELVOSALLE, Alain | R/28347 |
Exempts de saut : | ||
Restés à Kamina | Sdt MATHIEU, Albert | R/28517 |
Sdt VAN DE VOORDE, Serge | R/28356 |
Re: Kolwezi vu par les Belges
L’année suivante, des informations faisant craindre un renouvellement des événements de Kolwezi, le 2 Bataillon Commando reçoit une mission, d’instruction des Forces Armées Zaîroises (FAZ) et de dissuasion dans le Bas-Zaïre "Green Apple".
Le Bataillon rejoint la base de Kitona à partir du 12 février et y reste jusqu’au 30 mars.
Le Bataillon rejoint la base de Kitona à partir du 12 février et y reste jusqu’au 30 mars.
Re: Kolwezi vu par les Belges
merci daniel
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