Les débuts
2 participants
Page 1 sur 1
Les débuts
Ses débuts remontent au 15 août 1830, lors de la conquête d'Alger par le général en chef de Bourmont, sur les conseils et en Mémoire du colonel Alfred d'Aubignosc.
La Légion étrangère est créée par décret le 9 mars 1831 par le roi Louis-Philippe, roi des Français, à l'instigation du maréchal Soult, ministre de la Guerre. Elle rassemble, à cette date, les différents corps étrangers de l'armée française, dont les gardes suisses, issus de la paix perpétuelle signée après la bataille de Marignan, le régiment Hohenlohe. Cette troupe nouvelle est destinée à combattre hors du Royaume (en Algérie). La légion étrangère ne peut combattre qu'outre mer sauf si la métropole est envahie.
Les premiers cantonnements de la Légion sont implantés à Langres, Bar-le-Duc, Agen et Auxerre. Les anciens des gardes suisses et du régiment Hohenlohe sont placés dans le 1er bataillon. Les 2e et 3e reçoivent les Suisses et les Allemands, le 4e est réservé aux Espagnols et Portugais, le 5e aux Sardes et Italiens, le 6e aux Belges et Hollandais et le 7e aux Polonais.
Au commencement, la Légion constitue un moyen très efficace pour retirer les éléments les plus « indésirables » de la société française du XIXe siècle. Dans ses rangs, se trouvent des meurtriers, des évadés, des mendiants, des criminels de droit commun mais surtout des immigrés non désirés, opposants au Régime.
Le légionnaire est très mal formé, peu ou pas payé, et reçoit le plus sommaire en matière d'équipement, de vêtements et de nourriture. La motivation des hommes est alors au plus bas, car les raisons de rejoindre la Légion sont le plus souvent le désespoir et l'instinct de survie plutôt que le patriotisme. Certains légionnaires tentent très probablement d'échapper à de graves problèmes. Les conditions de vie et de travail sont terribles et les premières campagnes provoquent de lourdes pertes. En conséquence, les désertions posent un problème important à la Légion. Forger une force de combat efficace à partir d'un groupe de soldats peu motivés, représente une entreprise des plus difficiles. Dans ce but, la Légion développe d'emblée une discipline incroyablement stricte, dépassant de loin celle imposée à l'armée française régulière.
La Légion étrangère est créée par décret le 9 mars 1831 par le roi Louis-Philippe, roi des Français, à l'instigation du maréchal Soult, ministre de la Guerre. Elle rassemble, à cette date, les différents corps étrangers de l'armée française, dont les gardes suisses, issus de la paix perpétuelle signée après la bataille de Marignan, le régiment Hohenlohe. Cette troupe nouvelle est destinée à combattre hors du Royaume (en Algérie). La légion étrangère ne peut combattre qu'outre mer sauf si la métropole est envahie.
Les premiers cantonnements de la Légion sont implantés à Langres, Bar-le-Duc, Agen et Auxerre. Les anciens des gardes suisses et du régiment Hohenlohe sont placés dans le 1er bataillon. Les 2e et 3e reçoivent les Suisses et les Allemands, le 4e est réservé aux Espagnols et Portugais, le 5e aux Sardes et Italiens, le 6e aux Belges et Hollandais et le 7e aux Polonais.
Au commencement, la Légion constitue un moyen très efficace pour retirer les éléments les plus « indésirables » de la société française du XIXe siècle. Dans ses rangs, se trouvent des meurtriers, des évadés, des mendiants, des criminels de droit commun mais surtout des immigrés non désirés, opposants au Régime.
Le légionnaire est très mal formé, peu ou pas payé, et reçoit le plus sommaire en matière d'équipement, de vêtements et de nourriture. La motivation des hommes est alors au plus bas, car les raisons de rejoindre la Légion sont le plus souvent le désespoir et l'instinct de survie plutôt que le patriotisme. Certains légionnaires tentent très probablement d'échapper à de graves problèmes. Les conditions de vie et de travail sont terribles et les premières campagnes provoquent de lourdes pertes. En conséquence, les désertions posent un problème important à la Légion. Forger une force de combat efficace à partir d'un groupe de soldats peu motivés, représente une entreprise des plus difficiles. Dans ce but, la Légion développe d'emblée une discipline incroyablement stricte, dépassant de loin celle imposée à l'armée française régulière.
Re: Les débuts
A Paris, le 10 mars 1831,
Louis Philippe, roi des Français, à tous présents et à venir, salut,
Vu la loi du 9 mars 1831, sur le rapport de notre Ministre secrétaire d'Etat au département de la Guerre.
Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit
Article 1er
Il sera formé une légion composée d'étrangers: cette légion prendra la dénomination de Légion étrangère.
Art. 2.
Les bataillons de la Légion étrangère auront la même formation que les bataillons d'infanterie de ligne française excepté qu'ils n'auront point de compagnie d'élite...
Art. 3.
L'uniforme sera bleu, avec simple passe-poil garance et le pantalon de même couleur,les boutons seront jaunes, et porteront les mots Légion étrangère...
Art. 9.
Notre ministre, secretaire d'etat au département de la Guerre est chargé de l'exécution de la présente ordonnance.
Signé : Louis Philippe.
Par le Roi, le Ministre secrétaire d'Etat de la Guerre. Signé : Maréchal duc de Dalmatie.
Re: Les débuts
Pendant la guerre de Crimée, pour pallier à l’immobilisation de nombreuses troupes françaises dont faisaient partie les deux seuls régiments de la Légion étrangère, l’empereur NAPOLEON III décida par décret impérial en date du 17 janvier 1855, d’instituer une 2e Légion.
Re: Les débuts
BAR-LE-DUC Europe centrale
BAR-LE-DUC (Dépôt de), : Chef-lieu du département de la Meuse, il reçoit en mars 1831, le second dépôt de recrutement de Légion étrangère. Les 2e et 3e bataillons sont formés avec les Suisses, les Allemands et les anciens du régiment de Hohenlohe. Ils sont commandés respectivement par les chefs de bataillon Moret et Kléber. Par la suite, centre de recrutement de l’armée, dépôt des EVDG en 1914 et 1940.
AUXERRE Italiens
AUXERRE (Dépôt d’), : Lors de la création de la Légion étrangère, le dépôt de recrutement de l’armée où s’engagent les Italiens et les Sardes destinés au 5e bataillon de Légion étrangère, en de 1831 à 1832 est stationné au chef-lieu du département de l’Yonne. En 1832, il laisse la place au centre de recrutement de Pont-Saint-Esprit. Il sera activé pour les EVDG, en 1870, 1914 et 1940.
AGEN Espagnols
AGEN (Dépôt de), : Chef-lieu du département du Lot et Garonne, il reçoit de 1831 à 1832, le dépôt de recrutement de l’armée où s’engagent les Espagnols puis les Portugais destinés au 4e bataillon de Légion étrangère. Il sera activé pour les EVDG de 1870, de 1914 et 1940.
CHAUMONT Hollandais
BAR-LE-DUC (Dépôt de), : Chef-lieu du département de la Meuse, il reçoit en mars 1831, le second dépôt de recrutement de Légion étrangère. Les 2e et 3e bataillons sont formés avec les Suisses, les Allemands et les anciens du régiment de Hohenlohe. Ils sont commandés respectivement par les chefs de bataillon Moret et Kléber. Par la suite, centre de recrutement de l’armée, dépôt des EVDG en 1914 et 1940.
AUXERRE Italiens
AUXERRE (Dépôt d’), : Lors de la création de la Légion étrangère, le dépôt de recrutement de l’armée où s’engagent les Italiens et les Sardes destinés au 5e bataillon de Légion étrangère, en de 1831 à 1832 est stationné au chef-lieu du département de l’Yonne. En 1832, il laisse la place au centre de recrutement de Pont-Saint-Esprit. Il sera activé pour les EVDG, en 1870, 1914 et 1940.
AGEN Espagnols
AGEN (Dépôt de), : Chef-lieu du département du Lot et Garonne, il reçoit de 1831 à 1832, le dépôt de recrutement de l’armée où s’engagent les Espagnols puis les Portugais destinés au 4e bataillon de Légion étrangère. Il sera activé pour les EVDG de 1870, de 1914 et 1940.
CHAUMONT Hollandais
Re: Les débuts
Jusqu"en 1841, date de la création du 2e R.E puis 2e R.L.E, il n'eu que le 1er R.E.
Quelques dates.
1830 ont parle de créer une Légion.
1831 création de la Légion.
1832, Débarquement de la Légion à St Feruch en Algérie.
De 1832 a 1855 +-, les 2 Régiments sont cantonés en plusieurs endroits.
Le 1er Oran et sa région.
Le 2e n'auras pratiquement jamais de cantonemebts bien que Bougie est considéré " et encore " comme base de cantonelent.
Le 1er garde Oran et sa vaste région, jusqu'a la frontière du Maroc.
Le deux sera dés sa création envoyés dans les Aurès et la Kabylie.
Il faut savoir, que les dépots étais bien en France jusqu"en 1832, les futurs Légionnaires arrivait à Oran et étais directement versés dans un des deux régiments et sait dans leur régiments respectifs qu'ils faisait leur instructions de base, et non comme on la crus longtemps au 1er R.E, pour cella il faudra attendre Sidi Belle Abbès et encore pas de suite car Sidi au départ est considéré comme dépot principale pour tout le corps expédionaire français sans exeptions. Plus tard la Légion fut chargée de garder seul ce quartier et noeud de communication, pour cella il faudta attendre l'aprés Crimée et le nom doné de quartier Vienot, mais sa cet une autre histoire.
Question des vieilles Légion; il n'y en avait qu'une la 1er jusqu"en 1835 ou elle fut envoyé en Espagne, et imédiatement reconstruite en nouvelle légion. Quant ont parle des vieilles Légions cet uniquement en termes de celles des début. 1831 le 1er R.E et du 2e 1841 10 ans plus tard, les vieilles Légions sont donc toujours les 2 premiers 1er R.E de 1835, avant 1841 et aucunes autres. Mais ce sont des autres histoires un peu compliquées pour plus tard.
Quelques dates.
1830 ont parle de créer une Légion.
1831 création de la Légion.
1832, Débarquement de la Légion à St Feruch en Algérie.
De 1832 a 1855 +-, les 2 Régiments sont cantonés en plusieurs endroits.
Le 1er Oran et sa région.
Le 2e n'auras pratiquement jamais de cantonemebts bien que Bougie est considéré " et encore " comme base de cantonelent.
Le 1er garde Oran et sa vaste région, jusqu'a la frontière du Maroc.
Le deux sera dés sa création envoyés dans les Aurès et la Kabylie.
Il faut savoir, que les dépots étais bien en France jusqu"en 1832, les futurs Légionnaires arrivait à Oran et étais directement versés dans un des deux régiments et sait dans leur régiments respectifs qu'ils faisait leur instructions de base, et non comme on la crus longtemps au 1er R.E, pour cella il faudra attendre Sidi Belle Abbès et encore pas de suite car Sidi au départ est considéré comme dépot principale pour tout le corps expédionaire français sans exeptions. Plus tard la Légion fut chargée de garder seul ce quartier et noeud de communication, pour cella il faudta attendre l'aprés Crimée et le nom doné de quartier Vienot, mais sa cet une autre histoire.
Question des vieilles Légion; il n'y en avait qu'une la 1er jusqu"en 1835 ou elle fut envoyé en Espagne, et imédiatement reconstruite en nouvelle légion. Quant ont parle des vieilles Légions cet uniquement en termes de celles des début. 1831 le 1er R.E et du 2e 1841 10 ans plus tard, les vieilles Légions sont donc toujours les 2 premiers 1er R.E de 1835, avant 1841 et aucunes autres. Mais ce sont des autres histoires un peu compliquées pour plus tard.
Invité- Invité
Re: Les débuts
Voila pourquoi, je me suis spécialisés pour la période entre 1831 et 1836.
Questions des Suisses en 1831; il venaient pour former la Légion de cette époque, non seulement du vieux Hoelenzern, mais aussi de deux régiments de gardes Suisses qui sous Louis XVI; tenais Versaille et la Bastille; tous furent massacrés pratiquements, les quelques rares survivants recréeres ces 2 régiments sous Louis Phiippe, mais il y eus 4 régiments de Lignes Suisses aussi, ce sont ces 7 régiments qui sous les ordres de Stoffels " un Suisse " qui créeres l'ossature de la Légion. Toutes aussi bisares on ne retrouva pas une seule forfaiturrres budgetaires parmis les Suisses, mais bien dans l'administration de l'armée régulière, ce qui fut terminés quand la Légion partis pour l'Algérie.
Le dépot principale était Bar Le Duc, c'est le premier dépot officiel connus.
N'oublions pas non plus que ce n'est pas Louis Philippe qui étais contre ces étrangers, les Roys de France ont toujours eus des " Mercenaires " Le celèbre Maréchal de Mac Mahon, qui commanda la L&gion, descend d'un ecossais de la garde de François 1er, il en est de même de Mac Donald " Pas le Fastfood les gars ". Le ministre de la guerre le fameux tourneur de casaque qui servit la république, napoléon et Louis Philippe et puis etc,étais foncièrement " raciste " contre ces étrangers de France, allant jusqu'a essayer de promulgué un decret d'expultion contre eux et emèchés la création de la Légion, tant que Soult resta ministre il fut le pire et premier ennemi de la Légion, Ney, l'autre tourneur de casaque en étais un aussi, de plus ces cavaliers méprisais la pietaille comme ils disaient alors recevoires " plus tard " des leçons de ces étrangers quel horreur.
D'autant plus question de parole données c'étais plus versatiles, tandis que cette futur " vieille Légion " n'avait pas de leçons à ce sujet car très vite il fut marqué sur leur 1er drapeau " Valeur etDisipline. J'ai été un peu long, mais vous connaissez maintenant les 2 premiers ennemis des futurs Képis Blancs. Je m'excuses aussi de la façon de mes écrits envers certains personnages, mais pour ceux qui me connaissent je suit ici encore polis envers eux, car qui touche à la Légion devient systématiquement mon ennemi.
Amitiés Legio.
Questions des Suisses en 1831; il venaient pour former la Légion de cette époque, non seulement du vieux Hoelenzern, mais aussi de deux régiments de gardes Suisses qui sous Louis XVI; tenais Versaille et la Bastille; tous furent massacrés pratiquements, les quelques rares survivants recréeres ces 2 régiments sous Louis Phiippe, mais il y eus 4 régiments de Lignes Suisses aussi, ce sont ces 7 régiments qui sous les ordres de Stoffels " un Suisse " qui créeres l'ossature de la Légion. Toutes aussi bisares on ne retrouva pas une seule forfaiturrres budgetaires parmis les Suisses, mais bien dans l'administration de l'armée régulière, ce qui fut terminés quand la Légion partis pour l'Algérie.
Le dépot principale était Bar Le Duc, c'est le premier dépot officiel connus.
N'oublions pas non plus que ce n'est pas Louis Philippe qui étais contre ces étrangers, les Roys de France ont toujours eus des " Mercenaires " Le celèbre Maréchal de Mac Mahon, qui commanda la L&gion, descend d'un ecossais de la garde de François 1er, il en est de même de Mac Donald " Pas le Fastfood les gars ". Le ministre de la guerre le fameux tourneur de casaque qui servit la république, napoléon et Louis Philippe et puis etc,étais foncièrement " raciste " contre ces étrangers de France, allant jusqu'a essayer de promulgué un decret d'expultion contre eux et emèchés la création de la Légion, tant que Soult resta ministre il fut le pire et premier ennemi de la Légion, Ney, l'autre tourneur de casaque en étais un aussi, de plus ces cavaliers méprisais la pietaille comme ils disaient alors recevoires " plus tard " des leçons de ces étrangers quel horreur.
D'autant plus question de parole données c'étais plus versatiles, tandis que cette futur " vieille Légion " n'avait pas de leçons à ce sujet car très vite il fut marqué sur leur 1er drapeau " Valeur etDisipline. J'ai été un peu long, mais vous connaissez maintenant les 2 premiers ennemis des futurs Képis Blancs. Je m'excuses aussi de la façon de mes écrits envers certains personnages, mais pour ceux qui me connaissent je suit ici encore polis envers eux, car qui touche à la Légion devient systématiquement mon ennemi.
Amitiés Legio.
Invité- Invité
Re: Les débuts
Admin a écrit:
A Paris, le 10 mars 1831,
Louis Philippe, roi des Français, à tous présents et à venir, salut,
Vu la loi du 9 mars 1831, sur le rapport de notre Ministre secrétaire d'Etat au département de la Guerre.
Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit
Article 1er
Il sera formé une légion composée d'étrangers: cette légion prendra la dénomination de Légion étrangère.
Art. 2.
Les bataillons de la Légion étrangère auront la même formation que les bataillons d'infanterie de ligne française excepté qu'ils n'auront point de compagnie d'élite...
Art. 3.
L'uniforme sera bleu, avec simple passe-poil garance et le pantalon de même couleur,les boutons seront jaunes, et porteront les mots Légion étrangère...
Art. 9.
Notre ministre, secretaire d'etat au département de la Guerre est chargé de l'exécution de la présente ordonnance.
Signé : Louis Philippe.
Par le Roi, le Ministre secrétaire d'Etat de la Guerre. Signé : Maréchal duc de Dalmatie.
ARTICLE 2
La légion n'aura pas de compagnie d'élite ????
olivier- Admin
- Localisation : 34
Messages : 3867
Date d'inscription : 10/11/2009
Age : 58
Re: Les débuts
Sa ce n'est inscrit que sur papier.
En 1833; on trouve déja une cie d'elite au 1er bataillon du 1er R.E.
Plus tard sous Bugeaud, il y aurras même 1 bataillon d'élite au 1er R.E.
Les compagnies d'élites étais " les ouvreurs de route " Mais aussi charger de protèger les flancs d'une colonne, et le bataillon d'élite lui souvent étais a l'arrière en " arrière garde et protections du convoi et des blessés "
Récapitulon.
1. Bataillon d'élite " arrière garde et protections "
2. Compagnies d'élite, ouverture des routes et flancs gardes des colonnes.
3. La cie et le bataillon, pouvait aussi conjointement e^tres en tête de colonne dans les " passages très dangereux " exemple " le passage de la Mecta.
Mais allors que font les autres bataillons légion ?
Et bien quant il n'y avais qu'une cie d'élite " souvent le cas " ils escortaient aussi les convois soit devant ou arrière garde "
ils n'avais pas la tache facile non plus.
1. Charger des patrouilles.
2. Etais attachés aux autres colonnes.
3 Protections des villes et endroits stratégiques.
4 Bâtirs, assénires, etc...
En quelques sortes ces compagnies d'élites sont les précuseurs des Voltigeurs actuels, mais aussi des tireurs d'élites.
Les meilleurs tireurs étais versés dans les cie uniquement, ils soutenais la cie elle même l'ors d'une avance ou retraite.
Voila en quelques lignes le travaille des ces Légionnaires.
En 1833; on trouve déja une cie d'elite au 1er bataillon du 1er R.E.
Plus tard sous Bugeaud, il y aurras même 1 bataillon d'élite au 1er R.E.
Les compagnies d'élites étais " les ouvreurs de route " Mais aussi charger de protèger les flancs d'une colonne, et le bataillon d'élite lui souvent étais a l'arrière en " arrière garde et protections du convoi et des blessés "
Récapitulon.
1. Bataillon d'élite " arrière garde et protections "
2. Compagnies d'élite, ouverture des routes et flancs gardes des colonnes.
3. La cie et le bataillon, pouvait aussi conjointement e^tres en tête de colonne dans les " passages très dangereux " exemple " le passage de la Mecta.
Mais allors que font les autres bataillons légion ?
Et bien quant il n'y avais qu'une cie d'élite " souvent le cas " ils escortaient aussi les convois soit devant ou arrière garde "
ils n'avais pas la tache facile non plus.
1. Charger des patrouilles.
2. Etais attachés aux autres colonnes.
3 Protections des villes et endroits stratégiques.
4 Bâtirs, assénires, etc...
En quelques sortes ces compagnies d'élites sont les précuseurs des Voltigeurs actuels, mais aussi des tireurs d'élites.
Les meilleurs tireurs étais versés dans les cie uniquement, ils soutenais la cie elle même l'ors d'une avance ou retraite.
Voila en quelques lignes le travaille des ces Légionnaires.
Invité- Invité
Re: Les débuts
merci pour les précisions
olivier- Admin
- Localisation : 34
Messages : 3867
Date d'inscription : 10/11/2009
Age : 58
Re: Les débuts
Oui, très intéressant et ne dit-on pas: "envoyer la Légion", quand tout semble perdu ou quand il s'agit de faire un coup de force, seule la Légion a cette réputation dans l'esprit des gens et ce n'est pas par hasard!
Invité- Invité
Re: Les débuts
Le Maréchal Mac Mahon a dit a la bataille de Solferino en 1859 " La Légion est la, l'affaire est dans le sac " il la connaissait bien pour y avoir servit.
Concernant cette Légion de 1830; ce n'est pas encore la Légion étrangère mais la " Légion Suisse " car ils n'y avais qu'eux et quelque Germanique, c'est déja le colonel Stoffel qui les commandes, c'est en suite encore lui qui commandera la 1er Légion étrangère qui deviendra en suite en partant vers l'Algérie le 1er Etranger, puis 1er R.E.
C'est sa le problème des premières appelations du 1er régiment de la Légion. La Légion Suisse de 1830, n'a rien de comun avec la véritable Légion du 9 mars 1831.
La Légion Suisse ne faisait rien et dérangeais le peuple surtout lui rappelant qu'ils avais tirés sur eux en 1789. Elle fut envoyée en Algérie et rappelée en 1831 pour former la Légion étrangère.
C'est avec les droits universelles déclaré par la République, que les étrangers affluèrent en France, surtout des étudiants contestataires Allemands, Autrichiens et Russes. Les Belges et Hollandais suivirent en 1831, et d'autres pays suivirent. L'ironie du sort est que la masse de gens qui s'engagerent est ce que la Légion detestes le plus au monde actuellement,les rouges et les deserteurs, et a part quelques brebis galeuses, tous devinrent la fièrté de la France.
Cet aussi grâce a ces hommes, cas l'intérieure du 1er R.E puis du 2 R.E.L, que la politique fut banie entres eux et les deserteurs sévérement punis.
A savoir les soldats de la compagnie disiplinaire étais pas des Légionnaires mais des Zouaves, a Diouz, comme quoi la légion a toujours eux des contre sens dans son histoire.
Concernant cette Légion de 1830; ce n'est pas encore la Légion étrangère mais la " Légion Suisse " car ils n'y avais qu'eux et quelque Germanique, c'est déja le colonel Stoffel qui les commandes, c'est en suite encore lui qui commandera la 1er Légion étrangère qui deviendra en suite en partant vers l'Algérie le 1er Etranger, puis 1er R.E.
C'est sa le problème des premières appelations du 1er régiment de la Légion. La Légion Suisse de 1830, n'a rien de comun avec la véritable Légion du 9 mars 1831.
La Légion Suisse ne faisait rien et dérangeais le peuple surtout lui rappelant qu'ils avais tirés sur eux en 1789. Elle fut envoyée en Algérie et rappelée en 1831 pour former la Légion étrangère.
C'est avec les droits universelles déclaré par la République, que les étrangers affluèrent en France, surtout des étudiants contestataires Allemands, Autrichiens et Russes. Les Belges et Hollandais suivirent en 1831, et d'autres pays suivirent. L'ironie du sort est que la masse de gens qui s'engagerent est ce que la Légion detestes le plus au monde actuellement,les rouges et les deserteurs, et a part quelques brebis galeuses, tous devinrent la fièrté de la France.
Cet aussi grâce a ces hommes, cas l'intérieure du 1er R.E puis du 2 R.E.L, que la politique fut banie entres eux et les deserteurs sévérement punis.
A savoir les soldats de la compagnie disiplinaire étais pas des Légionnaires mais des Zouaves, a Diouz, comme quoi la légion a toujours eux des contre sens dans son histoire.
Invité- Invité
Re: Les débuts
Tres , tres interessant Daniel et Petit sapeur;
Merci beaucoup;
j'espere que vous aurez d'autres informations supplementaires a ecrire ici.
En fait ca m'interessaerait d'en savoir plus sur Mac Mahon et Mac Donald..
Merci beaucoup;
j'espere que vous aurez d'autres informations supplementaires a ecrire ici.
En fait ca m'interessaerait d'en savoir plus sur Mac Mahon et Mac Donald..
Invité- Invité
Re: Les débuts
Mac Donald est de la même origine que Mac Mahon " Ecossaise ", eleurs déscendants sont originaires de la garde ecossaise de François 1er " de Valois " createur de cette garde.
Mais la s'arrêete leur histoire car Mac Donald fut Maréchal d'Empire de Napolèon 1er et Mac Mah2eron aussi Mais sous Napoléon III, c'est ce dernier qui fut Colonel au 1er R.E sous Louis Philippe " d'Orléans ". Ils furent deux grands Officiers.
Mac Donald est inscrit sur l'arc de Triomphe a Paris et un morceau de la grande ceinture de Paris aussi. Tandis que Mac Mahon possède un Boulvard a l'arc de triomphe de Paris, si mes souvenirs sont bons Mac Mahon possèdes plus d'artères de vois publics dans toutes la France que Mac Donald.
Mais la s'arrêete leur histoire car Mac Donald fut Maréchal d'Empire de Napolèon 1er et Mac Mah2eron aussi Mais sous Napoléon III, c'est ce dernier qui fut Colonel au 1er R.E sous Louis Philippe " d'Orléans ". Ils furent deux grands Officiers.
Mac Donald est inscrit sur l'arc de Triomphe a Paris et un morceau de la grande ceinture de Paris aussi. Tandis que Mac Mahon possède un Boulvard a l'arc de triomphe de Paris, si mes souvenirs sont bons Mac Mahon possèdes plus d'artères de vois publics dans toutes la France que Mac Donald.
Invité- Invité
Re: Les débuts
merci p'tit sapeur
olivier- Admin
- Localisation : 34
Messages : 3867
Date d'inscription : 10/11/2009
Age : 58
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ven 31 Mar - 9:55 par commandoair40
» 1 septembre 2015
Mar 1 Sep - 18:39 par olivier
» Visiteurs sur le forum 2014
Mar 1 Sep - 18:34 par olivier
» Janvier 1885 - La Légion étrangère à Tuyen Quang au Tonkin.
Sam 18 Jan - 8:07 par ROBERT
» loto et bourse aux armes
Lun 13 Jan - 11:13 par Invité
» Dimanche 12 Janvier 2014
Dim 12 Jan - 12:17 par Invité
» Samedi 11Janvier 2014
Sam 11 Jan - 18:19 par Gibert j
» Le mémorial du 2°REI
Sam 11 Jan - 12:09 par Gibert j
» vendredi 10 janvier 2014
Ven 10 Jan - 20:38 par Gibert j
» Commandant Dupin
Jeu 9 Jan - 20:39 par Gibert j
» Jeudi 9 janvier 2014
Jeu 9 Jan - 20:34 par Gibert j
» Mercredi 8 Janvier 2014
Mer 8 Jan - 21:54 par Gibert j