Historia Légio More Majorum
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Rechercher
 
 

Résultats par :
 


Rechercher Recherche avancée

Derniers sujets
» Avis aux Visiteurs .
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyVen 31 Mar - 9:55 par commandoair40

» 1 septembre 2015
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyMar 1 Sep - 18:39 par olivier

» Visiteurs sur le forum 2014
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyMar 1 Sep - 18:34 par olivier

»  Janvier 1885 - La Légion étrangère à Tuyen Quang au Tonkin.
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptySam 18 Jan - 8:07 par ROBERT

» loto et bourse aux armes
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyLun 13 Jan - 11:13 par Invité

» Dimanche 12 Janvier 2014
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyDim 12 Jan - 12:17 par Invité

» Samedi 11Janvier 2014
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptySam 11 Jan - 18:19 par Gibert j

» Le mémorial du 2°REI
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptySam 11 Jan - 12:09 par Gibert j

» vendredi 10 janvier 2014
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyVen 10 Jan - 20:38 par Gibert j

» Commandant Dupin
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyJeu 9 Jan - 20:39 par Gibert j

» Jeudi 9 janvier 2014
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyJeu 9 Jan - 20:34 par Gibert j

» Mercredi 8 Janvier 2014
5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo EmptyMer 8 Jan - 21:54 par Gibert j

Navigation
 Portail
 Index
 Membres
 Profil
 FAQ
 Rechercher
musique Légion

Classement de sites - Inscrivez le vôtre!pagerank

Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €

5 ans après l’opération « Dignité » Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo

2 participants

Aller en bas

5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo Empty 5 ans après l’opération « Dignité » Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo

Message par Admin Ven 8 Jan - 8:39

5 ans après l’opération « Dignité » Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo ,lui qui Le 17 octobre, est suspendu par le ministre de la Défense, Madame Michèle Alliot-Marie, pour « manquements graves à la loi, aux règlements militaires et aux ordres ».

Laisser moi d'abord vous situez les fait et le contexte :
Laurent Gbagbo prétend choisir une procédure référendaire et non la voie des ordonnances, suggérée à Accra. Devant le blocage politique, le désarmement dont le début est prévu quinze jours après ces modifications constitutionnelles ne s'engage pas à la mi-octobre.

La tension remonte et des signes indiquent que les deux camps désirent en découdre à nouveau. Des soldats de l'ONU ouvrent le feu sur des manifestants défavorables au désarmement des rebelles le 11 octobre. Les rebelles, qui ont pris le nom de Forces nouvelles (FN), annoncent le 13 octobre leur refus de se laisser désarmer face aux achats massifs d'armes des Forces armées nationales de Côte d'Ivoire (FANCI). Elles ont en effet intercepté deux camions des FANCI plein d'armes lourdes faisant route vers la ligne de démarcation. Le 28 octobre, elles décrètent l'état d'urgence dans le Nord du pays.
Abidjan décide d’une contre-offensive, baptisée « opération Dignité » (parfois appelée « opération César »). Un film de propagande soutient que cette opération s'est faite avec l'accord de l'Élysée, mais sur ce point, les commentateurs politiques ne sont pas d'accord .
La responsabilité de la prise de décision du bombardement n’est toujours pas établie, à Abidjan on laisse entendre que ce serait le CEM Général Mangou Philippe. Le 4 novembre, l'aviation récente des FANCI commence des bombardements sur Bouaké. Des combats opposent les forces terrestres les jours suivants mais les FANCI ne parviennent pas à percer. Au total, les Forces nouvelles annoncent la mort de 85 civils dans les bombardements du 4 au 6 novembre.
Le 13 mai 2005, un civil ivoirien de 30 ans, Firmin Mahé, meurt alors qu'il est détenu par trois soldats de l’opération Licorne.
Une plainte pour assassinat est déposée par Me Ndoumou, avocat camerounais. Pour la partie plaignante, Mahé aurait été assassiné par asphyxie, à l’aide d’un sac plastique posé sur son visage, le 13 mai 2005
Selon la version de l'armée française, le 13 mai 2005, Firmin Mahé, accusé d'être à la tête d'une bande de coupeurs de route, est localisé. Il est recherché pour plusieurs crimes (au moins cinq morts, neuf blessés et quatre viols) ; il réussit à s'enfuir, et les militaires de Licorne mettent en place un dispositif de surveillance. Vers 18 heures, Mahé ouvre le feu sur les militaires français, ces derniers répliquent et blessent grièvement Mahé, qui meurt durant son transfert vers l'hôpital de Man.
Le 2 novembre 2005 le général Poncet, et son adjoint opérations, le général Renaud de Malaussène reçoivent un blâme et une mutation. Le général Poncet a été muté à un poste de Chargé de mission à la Direction du renseignement militaire (DRM). « Dans les faits, ils sont dans un placard, ils n'auront pas de responsabilités de commandement » a déclaré un officier supérieur à l'AFP. Cette décision ne préjuge pas d'une décision de justice ultérieure.

Les responsables présumés du meurtre de Firmin Mahé, l'adjudant-chef Raugel et deux hommes du rang (le brigadier-chef Schnier et le brigadier Ben Youssouf), ont été suspendus et seront traduits devant un Conseil d'enquête militaire. Leur chef de corps, le colonel Éric Burgaud, sera entendu par le Conseil d'enquête militaire pour savoir si l'ordre a été donné de tuer Firmin Mahé.

Le 28 novembre, après que le Conseil d'enquête militaire a établi que l'adjudant-chef et les deux hommes du rang étaient bien présent dans le blindé au moment du décès de Firmin Mahé, ils sont placés en garde à vue pour homicide volontaire. Le lendemain, le colonel Éric Burgaud est à son tour placé en garde à vue. Selon Le Monde du 2 décembre, il aurait mis explicitement en cause le général Poncet. Le colonel Burgaud aurait déclaré aux enquêteurs de la brigade criminelle de Paris que le général Poncet « aurait donné un ordre implicite ayant conduit à la mort de Mahé ».

Le 13 décembre, le général Poncet a été mis en examen pour « complicité d'homicide volontaire ».

Les officiers mis en cause risquent au minimum d'être poursuivis au titre de l'article 40 du Code de procédure pénale qui spécifie que « toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs ».

Le brigadier-chef Johanes Schnier et l'adjudant-chef Raugel, mis en examen pour « homicide volontaire », ont été remis en liberté après respectivement 5 et 7 mois de détention provisoire.
De nombreux commentateurs à travers le monde et notamment en Côte d'Ivoire s'interrogent sur la sévérité d'une mesure aussi exceptionnelle (mais ce n'est pas la première fois qu'un militaire d'un tel rang est suspendu) et se demandent si d'autres faits n'ont pas déterminé la décision du ministre — et notamment les tirs ciblés de l'armée française dans la foule à Abidjan en novembre 2004, en réplique a des provocations, et de tirs isolés provenant de pillards pour lesquels une enquête a été demandée. C'est ainsi que Le Figaro du 20 octobre 2005 écrit : « Est-ce la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, le dossier du général étant beaucoup plus lourd ? »


Donc voici que le Général Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo le 1 décembre 2009 , 5 ans après les faits
- L’ancien patron de Licorne dit tout sur les 3 scénarios mis en place par le pouvoir - Comment Gbagbo a pu retourner en sa faveur une opération qui a tourné court
mardi 1er décembre 2009 par Charles d’Almeida
5 ans après son rappel en France, l’ancien patron de la Force Licorne fait paraître dans une revue, un article dans lequel il dévoile les 3 scénarios que le président Gbagbo a utilisés pendant les fameux événements de novembre 2004. Les jeunes patriotes ont commémoré le 9 novembre dernier les 5ans des « tueries de l’Hôtel Ivoire ». C’est à peu près la même période que choisit le Général Henri Poncet, l’ancien commandant des soldats français de Licorne, pour livrer des secrets sur les événements des 6, 7, 8 et 9 novembre 2004. Dans la dernière livraison de la revue « Le Casoar » éditée par l’association La Saint- Cyrienne, l’officier français a lui aussi donné sa version des graves événements qui ont coûté la vie aussi bien aux Français qu’aux Ivoiriens.

Les Plans A, B et C du pouvoir Trois cartes majeures abattues coup sur coup par le pouvoir d’Abidjan en une semaine, dans un jeu politico-militaire qui s’est soldé par un bain de sang. C’est cette stratégie mise en place par les tenants du pouvoir en Côte d’Ivoire, que le Gal Poncet a expliqué techniquement, mais aussi psychologiquement dans sa contribution. En novembre 2004, la Côte d’Ivoire était à sa deuxième année d’une crise armée qui a scindé le territoire en deux parties. Le Nord solidement tenu par la rébellion conduite par Guillaume Soro et le Sud aux mains du pouvoir d’Abidjan. Fouettée dans son orgueil, l’Armée ivoirienne entreprit de réunifier le pays. Le 3 novembre 2004, elle déclenche l’opération « Dignité » en faisant tomber un déluge de feu sur les zones tenues par l’ex- rébellion. Pour l’officier français, il s’agissait là du premier scénario à savoir, reconquérir de manière classique la zone rebelle. Après avoir pulvérisé ces zones pendant deux jours, les mercredi 3 et jeudi 4 novembre, l’armée de l’air ivoirienne devait laisser la place aux forces terrestres pour parachever le travail, le vendredi 5 novembre, en rentrant dans Bouaké la capitale de la rébellion. Selon le Gal Poncet, « le résultat n’est pas à la hauteur des espérances, car cette stratégie n’est pas adaptée aux réelles possibilités des FANCI, les Forces armées nationales de Côte d’Ivoire ». Le plan A ayant connu un succès mitigé, les « faucons » du régime, à en croire toujours l’officier français, ont opté pour une stratégie plutôt « radicale » : « changer d’ennemi ». C’est ainsi que les soldats français se sont retrouvés dans le viseur des stratèges du régime à la place des rebelles. Le plan B ainsi sorti, a abouti au bombardement du camp français de Bouaké. L’attaque aérienne menée par un Sukhoi des FANCI a fait 10 morts dans le camp français dont 1 Américain et 34 blessés. La forte réaction de l’Armée française qui a réussi à prendre le contrôle de la situation, a poussé les mêmes stratèges du pouvoir selon toujours le Général Henri Poncet, à abattre leur ultime carte, la troisième : « la guerre de l’information comme alternative ». L’ancien commandant de Licorne explique que cette troisième stratégie consistait pour le régime, à « se poser en victimes en recherchant le bain de sang, en jetant les foules sur les positions françaises et en libérant 4000 prisonniers de droit commun pour ajouter au chaos » Pour le Gal Poncet, cette stratégie décrite comme « une bataille de la légitimité, de la posture et de la preuve », a abouti à l’épisode de l’Hôtel Ivoire le mardi 9 novembre 2004. « Une explication psychopathologique » de la stratégie des tenants du pouvoir Comment la situation a-t-elle basculé de « la reconquête militaire des zones rebelles à l’attaque contre les Français ? » L’ancien patron de la Force française en donne les raisons : « Il y a une explication psychopathologique, ce qu’en psychiatrie on désigne sous le terme de défense paranoïaque. Quand un individu, un groupe dans le cas qui nous intéresse, se sent gravement menacé, ou est proche de l’éclatement, il cherche pour ne pas disparaître, une nouvelle ressource, en s’inventant un ennemi qu’il diabolise et en se posant en victime. » En Côte d’Ivoire, « il faut tuer le père, l’ancienne puissance coloniale », écrit encore le Général avant de préciser que : « la crise ivoirienne, crise fragmentaire et identitaire, a relevé plus de la psychologie au sens freudien du terme que de la diplomatie », « comme l’a écrit Freud à Einstein, la violence est fondatrice de droit et de communauté : elle implique le pacte à venir. (...) Déclarer la guerre à la France, en bombardant ostensiblement un camp (...) se veut l’événement fondateur d’une nouvelle Côte d’Ivoire ». Dans une lettre adressée aux victimes de ces événements le 8 novembre 2009, veille de la commémoration des 5 ans de la tuerie de l’Hôtel Ivoire, le président Laurent Gbagbo garde toujours le doigt accusateur pointé sur la France : « Des Ivoiriens aux mains nues ont été les victimes de la Force française Licorne », avait-il écrit, tout en promettant de ne jamais oublier « ces héros de la liberté ». Mieux, le chef de l’Etat a demandé « à la jeunesse et à la Nation tout entière de ne pas les oublier et de devenir héritières de leur combat pour la construction, ensemble d’un pacte social nouveau, d’un destin durable pour que vive une Côte d’Ivoire pacifiée, prospère et indépendante ».







5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo Le-Gal-Poncet

biographie du général Poncet est issu de l'arme des troupes de marine, spécialité parachutiste.

En 1994, il dirige l'opération Amaryllis, pour l'évacuation des étrangers présents au Rwanda, au début du génocide.

À partir de février 2001, il dirige le commandement des opérations spéciales.

De mai 2004 à juin 2005, il dirige l'opération Licorne en Côte d'Ivoire. C'est lui qui est en poste durant les affrontements opposant l'armée française aux partisans de Laurent Gbagbo en novembre 2004, après l'attaque surprise de la base de Bouaké par deux Sukhoï pilotés par des mercenaires biélorusses ou ukrainiens. En novembre, une fusillade survient entre des éléments de la Force Licorne et des civils.

Le 13 juillet 2005 il est décoré par le Président de la République Jacques Chirac.

Le 13 décembre de la même année, le général Poncet est mis en examen pour « complicité d'homicide volontaire ».

Il a également été « conseiller Afrique » des ministres de la défense Charles Millon, puis Alain Richard.
Admin
Admin
Admin
Admin

Localisation : Roux
Messages : 4458
Date d'inscription : 10/11/2009

https://patrianostra.forum-actif.eu

Revenir en haut Aller en bas

5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo Empty Re: 5 ans après l’opération « Dignité » Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo

Message par olivier Ven 8 Jan - 17:41

ben voyons ses la faute des colonialiste infame et profiteur et bla bla bla ont la connaient la chansons 5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo 46124 5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo 46124
olivier
olivier
Admin
Admin

Localisation : 34
Messages : 3867
Date d'inscription : 10/11/2009
Age : 58

Revenir en haut Aller en bas

5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo Empty Re: 5 ans après l’opération « Dignité » Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo

Message par Admin Jeu 29 Juil - 5:40

5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo Jpg_Gossio-et-Gbagbo-e0c4c
Admin
Admin
Admin
Admin

Localisation : Roux
Messages : 4458
Date d'inscription : 10/11/2009

https://patrianostra.forum-actif.eu

Revenir en haut Aller en bas

5 ans après l’opération « Dignité »  Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo Empty Re: 5 ans après l’opération « Dignité » Le Gal Poncet dévoile le plan secret de Gbagbo

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum