Quiz simple
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Quiz simple
quiz
de qui est cette citation et quelle est la suite.
nous étrangers, n'avons qu'une seul façon de prover à la france.....
chesty
de qui est cette citation et quelle est la suite.
nous étrangers, n'avons qu'une seul façon de prover à la france.....
chesty
Invité- Invité
Re: Quiz simple
celle la relativement facile
lieutenant-colonel Amilakvari, prince géorgien, mort pour la France à El-Heimat en octobre 1942
« Nous, étrangers, n’avons qu’une seule façon de prouver à la France notre
gratitude pour l’accueil qu’elle nous a fait : c’est de mourir pour
elle ».
lieutenant-colonel Amilakvari, prince géorgien, mort pour la France à El-Heimat en octobre 1942
« Nous, étrangers, n’avons qu’une seule façon de prouver à la France notre
gratitude pour l’accueil qu’elle nous a fait : c’est de mourir pour
elle ».
Invité- Invité
Re: Quiz simple
Ca , c'est le genre de Quizz que j'adore, ca oblige a chercher et on trouve:
Dimitri Amilakvari (ou Amilakhvari, დიმიტრი ამილახვარი en géorgien) (31 octobre 1906 à Bazorkino, Russie - 24 octobre 1942 à El-Alamein, Égypte) est un militaire français d'origine géorgienne, ayant combattu dans les Forces françaises libres durant la Seconde Guerre mondiale. Lieutenant-colonel dans la Légion étrangère, il était souvent appelé Bazorka en référence à sa ville de naissance.
Dimitri Amilakvari nait le 31 octobre 1906 au sein d'une famille princière géorgienne dans le village de Bazorkino (aujourd'hui Chermen dans le Caucase du Nord, en Russie[2]). Son père, le prince Giorgi Amilakhvari, était colonel de l'armée de la République démocratique de Géorgie et son grand-père, Ivane Amilakhvari, général. Après l'invasion de la Géorgie par l'Armée rouge le 25 février 1921, sa famille émigre à Istanbul, puis finalement en France en 1922
En 1924, il entre à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (Promotion du Rif). Il en sort en 1926 et rejoint le 1er Régiment étranger (1er RE) à Sidi Bel-Abbès (Algérie) avec le grade de sous-lieutenant à titre étranger. En 1929, il est affecté au 4e Régiment étranger d'infanterie (4e REI), près de Marrakech. En 1932, il participe à la campagne du Haut-Atlas durant laquelle il dirige une section. Le 30 mai 1932, il obtient une citation pour sa participation aux combats d'Aït-Atto. Il en obtient une seconde en août 1933 durant les combats dans le Djebel Baddou.
De 1934 à 1937, il dirige l'École militaire d'Agadir. En janvier 1937, il est nommé capitaine et deux mois plus tard retourne au 1er Régiment étranger (1er RE). Il est commandant de la compagnie d'instruction de mitrailleuses jusqu'en août 1939.
Le 20 février 1940 un bataillon de marche est constitué à Sidi Bel-Abbès qui, à partir du 27, est réuni avec d'autres unités au sein de la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE). Amilakvari y est affecté en tant que commandant de la compagnie d'accompagnement du 2e bataillon (CAB 2). Quelques semaines plus tard, il reçoit la nationalité française. Après plusieurs semaines d'entraînement dans le Larzac, il est envoyé en Norvège où il débarque le 6 mai. Il y obtient trois nouvelles citations.
Le corps expéditionnaire revient en France le 13 juin 1940. En raison de la progression allemande, celui-ci est envoyé en Grande-Bretagne. Ainsi, le 20 juin, le capitaine Amilkvari quitte Jersey dans un cargo avec son chef de corps et cinq autres officiers, parmi lesquels le capitaine Koenig. Il choisit alors de s'engager dans les Forces françaises libres.
Dimitri Amilakvari quitte Londres le 31 août 1940 pour Dakar afin de participer à l'Opération Menace. L'AOF refuse de se rallier à la France libre. Il prend part à la prise du Gabon puis est envoyé en Érythrée en passant par le Cameroun. Il combat au sein de la Brigade d'Orient où il commande la compagnie d'accompagnement (CAB 1) du 1er Bataillon de la Légion étrangère. Il participe notamment à la bataille de Keren en mars 1941, ainsi qu'à la prise de Massaoua le 8 avril suivant.
En juin 1941, il combat en Syrie et est nommé chef de bataillon le 25 juin. Le 16 septembre 1941, il prend le commandement de la 13e DBLE et est promu lieutenant-colonel le 25 septembre.
À partir de mars 1942, il est engagé dans la campagne de Libye,
au sein d'une Jock column (groupement tactique constitué d'éléments
d'infanterie motorisée, d'une batterie d'artillerie tractée, d'un
peloton d'automitrailleuses, d'une section de canons antichars de 75 mm et d'éléments légers de DCA, du génie et de transmissions radio) et combat dans le désert de Libye.
Entre le 26 mai et le 11 juin 1942, il est l'adjoint du général Koenig qui commande la 1re Brigade Française Libre lors de la bataille de Bir-Hakeim. Il s'y illustre en étant systématiquement volontaire pour les missions les plus dangereuses (combat et renseignement). Le 31 mai, il dirige l'attaque lors de laquelle une Jock column détruit 5 chars allemands. Dans la nuit du 10 au 11 juin, il quitte Bir-Hakeim dans la propre voiture du général Koenig. Le Général de Gaulle appellera les troupes qui y combattirent "l’orgueil de la France". Le 11 août 1942, au camp de El Tahag (Égypte), il reçoit de ses mains la Croix de la Libération. C'est durant les combats de Bir-Hakeim qu'il écrit : "Nous
étrangers, n'avons qu'une seule façon de prouver à la France notre
gratitude pour l'accueil qu'elle nous a réservé : nous faire tuer pour
elle."
En octobre 1942, il commande sa demi-brigade, alors composée de deux bataillons, lors de la bataille d'El-Alamein. Ses troupes sont chargées de mener l'attaque principale contre le piton de l'Himeimat (80 mètres). Le 24 octobre 1942, son unité occupe une partie du plateau. Une attaque de chars allemands force cependant ses troupes à se retirer de cette position.
Durant cette retraite à travers des champs de mines, le
lieutenant-colonel Amilakvari est tué lorsqu'un éclat d'obus l'atteint
à la tête.
En son honneur, la 141e promotion de Saint-Cyr (1954-1956) est nommée "Lieutenant-colonel Amilakvari"
Il est enterré sur les pentes du Quart el Himeimat. Son képi taché
de sang et l’éclat d’obus qui le blessa mortellement sont gardés au
musée de la Légion à Aubagne. Sources décoration et dernier
paragraphe : SIHLE - Txt gal de CA de Saint Hillier
Son frère, Constantin, ancien adjudant de la Légion étrangère. Premier porte-drapeau de la Légion des Volontaires Français contre le Bolchévisme, est grièvement blessé sur le front de l'Est et meurt à Paris des suites de ses blessures le 4 juillet 1943.
Médailles
Dimitri Amilakvari (ou Amilakhvari, დიმიტრი ამილახვარი en géorgien) (31 octobre 1906 à Bazorkino, Russie - 24 octobre 1942 à El-Alamein, Égypte) est un militaire français d'origine géorgienne, ayant combattu dans les Forces françaises libres durant la Seconde Guerre mondiale. Lieutenant-colonel dans la Légion étrangère, il était souvent appelé Bazorka en référence à sa ville de naissance.
Dimitri Amilakvari nait le 31 octobre 1906 au sein d'une famille princière géorgienne dans le village de Bazorkino (aujourd'hui Chermen dans le Caucase du Nord, en Russie[2]). Son père, le prince Giorgi Amilakhvari, était colonel de l'armée de la République démocratique de Géorgie et son grand-père, Ivane Amilakhvari, général. Après l'invasion de la Géorgie par l'Armée rouge le 25 février 1921, sa famille émigre à Istanbul, puis finalement en France en 1922
En 1924, il entre à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (Promotion du Rif). Il en sort en 1926 et rejoint le 1er Régiment étranger (1er RE) à Sidi Bel-Abbès (Algérie) avec le grade de sous-lieutenant à titre étranger. En 1929, il est affecté au 4e Régiment étranger d'infanterie (4e REI), près de Marrakech. En 1932, il participe à la campagne du Haut-Atlas durant laquelle il dirige une section. Le 30 mai 1932, il obtient une citation pour sa participation aux combats d'Aït-Atto. Il en obtient une seconde en août 1933 durant les combats dans le Djebel Baddou.
De 1934 à 1937, il dirige l'École militaire d'Agadir. En janvier 1937, il est nommé capitaine et deux mois plus tard retourne au 1er Régiment étranger (1er RE). Il est commandant de la compagnie d'instruction de mitrailleuses jusqu'en août 1939.
Le 20 février 1940 un bataillon de marche est constitué à Sidi Bel-Abbès qui, à partir du 27, est réuni avec d'autres unités au sein de la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE). Amilakvari y est affecté en tant que commandant de la compagnie d'accompagnement du 2e bataillon (CAB 2). Quelques semaines plus tard, il reçoit la nationalité française. Après plusieurs semaines d'entraînement dans le Larzac, il est envoyé en Norvège où il débarque le 6 mai. Il y obtient trois nouvelles citations.
Le corps expéditionnaire revient en France le 13 juin 1940. En raison de la progression allemande, celui-ci est envoyé en Grande-Bretagne. Ainsi, le 20 juin, le capitaine Amilkvari quitte Jersey dans un cargo avec son chef de corps et cinq autres officiers, parmi lesquels le capitaine Koenig. Il choisit alors de s'engager dans les Forces françaises libres.
Dimitri Amilakvari quitte Londres le 31 août 1940 pour Dakar afin de participer à l'Opération Menace. L'AOF refuse de se rallier à la France libre. Il prend part à la prise du Gabon puis est envoyé en Érythrée en passant par le Cameroun. Il combat au sein de la Brigade d'Orient où il commande la compagnie d'accompagnement (CAB 1) du 1er Bataillon de la Légion étrangère. Il participe notamment à la bataille de Keren en mars 1941, ainsi qu'à la prise de Massaoua le 8 avril suivant.
En juin 1941, il combat en Syrie et est nommé chef de bataillon le 25 juin. Le 16 septembre 1941, il prend le commandement de la 13e DBLE et est promu lieutenant-colonel le 25 septembre.
À partir de mars 1942, il est engagé dans la campagne de Libye,
au sein d'une Jock column (groupement tactique constitué d'éléments
d'infanterie motorisée, d'une batterie d'artillerie tractée, d'un
peloton d'automitrailleuses, d'une section de canons antichars de 75 mm et d'éléments légers de DCA, du génie et de transmissions radio) et combat dans le désert de Libye.
Entre le 26 mai et le 11 juin 1942, il est l'adjoint du général Koenig qui commande la 1re Brigade Française Libre lors de la bataille de Bir-Hakeim. Il s'y illustre en étant systématiquement volontaire pour les missions les plus dangereuses (combat et renseignement). Le 31 mai, il dirige l'attaque lors de laquelle une Jock column détruit 5 chars allemands. Dans la nuit du 10 au 11 juin, il quitte Bir-Hakeim dans la propre voiture du général Koenig. Le Général de Gaulle appellera les troupes qui y combattirent "l’orgueil de la France". Le 11 août 1942, au camp de El Tahag (Égypte), il reçoit de ses mains la Croix de la Libération. C'est durant les combats de Bir-Hakeim qu'il écrit : "Nous
étrangers, n'avons qu'une seule façon de prouver à la France notre
gratitude pour l'accueil qu'elle nous a réservé : nous faire tuer pour
elle."
En octobre 1942, il commande sa demi-brigade, alors composée de deux bataillons, lors de la bataille d'El-Alamein. Ses troupes sont chargées de mener l'attaque principale contre le piton de l'Himeimat (80 mètres). Le 24 octobre 1942, son unité occupe une partie du plateau. Une attaque de chars allemands force cependant ses troupes à se retirer de cette position.
Durant cette retraite à travers des champs de mines, le
lieutenant-colonel Amilakvari est tué lorsqu'un éclat d'obus l'atteint
à la tête.
En son honneur, la 141e promotion de Saint-Cyr (1954-1956) est nommée "Lieutenant-colonel Amilakvari"
Il est enterré sur les pentes du Quart el Himeimat. Son képi taché
de sang et l’éclat d’obus qui le blessa mortellement sont gardés au
musée de la Légion à Aubagne. Sources décoration et dernier
paragraphe : SIHLE - Txt gal de CA de Saint Hillier
Son frère, Constantin, ancien adjudant de la Légion étrangère. Premier porte-drapeau de la Légion des Volontaires Français contre le Bolchévisme, est grièvement blessé sur le front de l'Est et meurt à Paris des suites de ses blessures le 4 juillet 1943.
Médailles
- Chevalier de la Légion d'honneur
- Compagnon de la Libération (décret du 9 septembre 1942)
- Croix de Guerre 39/45 avec 4 palmes (5 citations)
- Croix de Guerre des TOE (2 citations)
- Croix de Guerre (Norvège)
- Médaille des évadés,
- Médaille coloniale avec agrafe « Maroc »,
- Officier du Ouissam Alaouite
Invité- Invité
Re: Quiz simple
Dimitri Amilakvari Le prince géorgien, héros de Bir Hakeim
Lors de l’expédition de Narvik, la 8e compagnie d’appui
de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère. en provenance de la
maison mère de SidiBel-Abbès, est commandée par un authentique prince
géorgien, dont la famille a fui le régime bolchevique et l’impérialisme
russe. Ce Caucasien à la stature de colosse se nomme Dimitri Amilakvari
et il a choisi de servir sous la grenade à sept flammes de la Légion.
Sous ses ordres, des Allemands, des Hongrois et des Espagnols
participent avec fougue à la lutte antifasciste. Leurs petits canons de
57 ont fait un rude travail dans ce glacial paysage norvégien, où les
Alliés remporteront la seule victoire de 1940.
Regroupés en Angleterre, beaucoup de légionnaires du
2e bataillon de la 13e demi-brigade décident de poursuivre la lutte et
de rallier la France libre. à la suite de chefs qui, comme Dimitri
Amilakvari, ont fait le choix décisif.
Le ter juillet 1940, ils sont 900 légionnaires rassemblés à Londres
pour former une nouvelle unité. Ces volontaires subiront un échec
devant Dakar. mais parviendront à s’emparer de Libreville. Puis. ce
sera la campagne d’Érythrée contre les Italiens et celle de Syrie
contre les Français de Vichy.
Promu lieutenant-colonel, le prince Amilakvari commande maintenant la
13e demi-brigade de la Légion dont deux bataillons sont intégrés dans
la 1re division française libre du général Koenig.
Dans Bir Hakeim encerclé, les légionnaires se
montreront les plus résolus au combat.
Ce siège. qui va durer dix jours, fera d’Amilakvari le héros de Bir
Hakeim. Il réussira à sortir ses hommes du piège mortel et à les
conduire jusqu’à la frontière égyptienne. Mais l’heure de la revanche
sonnera aux côtés de la célèbre 7e division blindée britannique de
Montgomery. La 13e demi-brigade repart vers l’ouest et participe à la
dure bataille d’El-Himmeimat.
Le 24 octobre 1942, son chef sera foudroyé par un éclat d’obus en pleine tempe.
Ainsi disparaît un des plus prestigieux officiers de la Légion étrangère, à la veille de la bataille décisive d’El-Alamein.
Compagnon de la Libération, le lieutenant-colonel
prince Amilakvari est inhumé dans les sables du désert, entouré de ses
légionnaires, qui le suivaient avec « honneur et fidélité » depuis les
fjords de Norvège.
Lors de l’expédition de Narvik, la 8e compagnie d’appui
de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère. en provenance de la
maison mère de SidiBel-Abbès, est commandée par un authentique prince
géorgien, dont la famille a fui le régime bolchevique et l’impérialisme
russe. Ce Caucasien à la stature de colosse se nomme Dimitri Amilakvari
et il a choisi de servir sous la grenade à sept flammes de la Légion.
Sous ses ordres, des Allemands, des Hongrois et des Espagnols
participent avec fougue à la lutte antifasciste. Leurs petits canons de
57 ont fait un rude travail dans ce glacial paysage norvégien, où les
Alliés remporteront la seule victoire de 1940.
Regroupés en Angleterre, beaucoup de légionnaires du
2e bataillon de la 13e demi-brigade décident de poursuivre la lutte et
de rallier la France libre. à la suite de chefs qui, comme Dimitri
Amilakvari, ont fait le choix décisif.
Le ter juillet 1940, ils sont 900 légionnaires rassemblés à Londres
pour former une nouvelle unité. Ces volontaires subiront un échec
devant Dakar. mais parviendront à s’emparer de Libreville. Puis. ce
sera la campagne d’Érythrée contre les Italiens et celle de Syrie
contre les Français de Vichy.
Promu lieutenant-colonel, le prince Amilakvari commande maintenant la
13e demi-brigade de la Légion dont deux bataillons sont intégrés dans
la 1re division française libre du général Koenig.
Dans Bir Hakeim encerclé, les légionnaires se
montreront les plus résolus au combat.
Ce siège. qui va durer dix jours, fera d’Amilakvari le héros de Bir
Hakeim. Il réussira à sortir ses hommes du piège mortel et à les
conduire jusqu’à la frontière égyptienne. Mais l’heure de la revanche
sonnera aux côtés de la célèbre 7e division blindée britannique de
Montgomery. La 13e demi-brigade repart vers l’ouest et participe à la
dure bataille d’El-Himmeimat.
Le 24 octobre 1942, son chef sera foudroyé par un éclat d’obus en pleine tempe.
Ainsi disparaît un des plus prestigieux officiers de la Légion étrangère, à la veille de la bataille décisive d’El-Alamein.
Compagnon de la Libération, le lieutenant-colonel
prince Amilakvari est inhumé dans les sables du désert, entouré de ses
légionnaires, qui le suivaient avec « honneur et fidélité » depuis les
fjords de Norvège.
Invité- Invité
Re: Quiz simple
Merci Nesty;
Tout le merite t'en revient parce que tu poses la question; ensuite ce n'est qu'une question de poser les bonnes questions sur "Google est mon ami".
et ca me permet de m'instruire un peu plus.
Tout le merite t'en revient parce que tu poses la question; ensuite ce n'est qu'une question de poser les bonnes questions sur "Google est mon ami".
et ca me permet de m'instruire un peu plus.
Invité- Invité
Re: Quiz simple
lafleur931 a écrit:Merci Nesty;
Tout le merite t'en revient parce que tu poses la question; ensuite ce n'est qu'une question de poser les bonnes questions sur "Google est mon ami".
et ca me permet de m'instruire un peu plus.
juste une question Lafleur : est ce naturel ou tu le fait exprès
le 17 Novembre ce que j'ai écrit : https://patrianostra.forum-actif.eu/caids-ou-marechaux-f49/lieutenant-colonel-prince-dimitri-amilakvari-t180.htm
ce qui est la preuve que tu ne regarde pas les rubriques une a une sur le site et ce encore une fois
Re: Quiz simple
Admin a écrit:juste une question Lafleur : est ce naturel ou tu le fait exprès
C'est naturel, Daniel, je ne savais pas que tu avais deja ecrit un sujet sur cet illustre legionnaire.
En fait Chesty pose une question, je ne suis pas cense savoir que la citation est de Dimitri Amilakvari
Je cherche, je trouve et je donne la reponse, c'est tout et j'ajoute quelques details que tu avais deja ecrit il y a quelques semaines , mais sur un tout autre sujet.
Invité- Invité
Re: Quiz simple
pour commencer je vous pose des quiz trés facile.....
J'adore cela, demandé à Nesty et à james
J'adore cela, demandé à Nesty et à james
Invité- Invité
Re: Quiz simple
lafleur931 a écrit:Admin a écrit:juste une question Lafleur : est ce naturel ou tu le fait exprès
C'est naturel, Daniel, je ne savais pas que tu avais deja ecrit un sujet sur cet illustre legionnaire.
En fait Chesty pose une question, je ne suis pas cense savoir que la citation est de Dimitri Amilakvari
Je cherche, je trouve et je donne la reponse, c'est tout et j'ajoute quelques details que tu avais deja ecrit il y a quelques semaines , mais sur un tout autre sujet.
a partir du moment que tu sais que c'est Dimitri Amilakvari pourquoi tu regarde pas sur le site tout ce que tu rajoute cela occupe de l'espace et il est plus simple comme je le fait souvant de mettre le lien qui renvois sur notre site a la rubrique et au sujet concerner
Re: Quiz simple
chesty a écrit:pour commencer je vous pose des quiz trés facile.....
J'adore cela, demandé à Nesty et à james
POUR CA IL EST FORT
ET A UNE SACRE RESERVE
Invité- Invité
Re: Quiz simple
Admin a écrit:
a partir du moment que tu sais que c'est Dimitri Amilakvari pourquoi tu regarde pas sur le site tout ce que tu rajoute cela occupe de l'espace et il est plus simple comme je le fait souvant de mettre le lien qui renvois sur notre site a la rubrique et au sujet concerner
Tu as raison Daniel;
la vieillesse, tu comprends ca? Je me fais vieux, 60 ans passes deja..
Je ferai plus attention dorenavant.
Invité- Invité
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